The Lost Room

Juste avant de mourir, un jeune homme confie à l'inspecteur Joe Miller la clé d'une chambre de l'hôtel Sunshine, située aux abords de la mythique Route 66. Il ne sait pas encore qu'il vient d'entrer en possession d'un objet puissant et terriblement convoîté, ouvrant une porte vers un univers parallèle. Miller, ...

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Terminée	Américaine	90 minutes
Action, Drame, Fantastique, Drama, Mini-Series, Science-Fiction	SyFy, M6	2006

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1.01 - La clé et le réveil

The Key and the Clock

Joe Miller est inspecteur. Un jour, un mourant lui confie la clé d'une chambre d'un étrange hôtel. Joe découvre qu'elle ouvre sur un univers parallèle. Après que sa fille s'y retrouve prisonnière, Miller se lance à sa recherche et devient la proie de chasseurs qui désirent son bien le plus précieux : la clé.

Diffusion originale : 11 décembre 2006

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Diffusion française : 11 décembre 2006
Réalisat.eur.rice.s : Craig R. Baxley
Scénariste.s :
Guest.s : Chris Browning , Chris McCarty , Chris Momberg , Dennis Kieffer , Doris Hargrave , Dylan Kenin , Esodi Geiger , Jane Goold , Jason Douglas , Luce Rains , Tommy Rosales Junior

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nicknackpadiwak
Rédacteur

Avis favorable

Déposé le 14 octobre 2019 à 18:02

Je me rappelle, j’étais jeune, j’étais encore sous l’émotion de Six Feet Under et il y avait cette série, The Lost Room dans laquelle jouait Nate Fisher. Cela semblait intrigant, plein de mystères, une sorte de trip cérébrale, déstabilisante avec des accents Lynchien et je ne sais plus pour quelle raison, je loupais sa diffusion télé. Et il y a peu, je trouvais la série en DVD à 5 euros. C’est peu dire de dire que je me jetais dessus.

Et il m’a environ fallu moins d’un quart d’heure pour réaliser que The Lost Room….est un gros nanard !

Entre les méchants qu’on penserait sorti d’un film de Luc Besson, les crayons bic qui tuent, le suspect qui s’enfuit plusieurs fois avant de se prendre une balle, la fille qui expérimente toutes les opportunités de la pièce magique le temps de faire cuire un pancake ou la rencontre miraculeuse dans un hôpital qui permet de bien faire avancer l’histoire (ok on nous explique que les objets magiques font s’attirer leurs propriétaires, mais ça arrange tout de même bien tout le monde), c’est vraiment la fête à l’approximatif, aux ressorts plus qu’usées et autres ficelles vus des milliers de fois dans des films d’actions bourrins et peu regardants sur la vraisemblance de leurs scénarios, du moment que ça pète, t’as vu .

Oui, mais voilà, tout cela permet au pilote d’avancer tambour battant, je ne me suis pas ennuyé une seconde et tous les rebondissements m’ont bien fait rire. L’idée de la disparition d’Anna dans la chambre est bien trouvée et qu’en plus de donner un enjeu à la série, permettra d’expliquer les prises de risque insensées de Joe Miller pour garder une clé. Et en plus de Peter Krause (qui a vraiment la classe), il y a Chris Bauer aka Frank Sobotka de The Wire.

Donc, je fais mon deuil d’une série perturbante et expérimentale et je me prépare à passer un bon divertissement un peu con-con mais efficace, un guilty pleasure à regarder au second degré.

Lost Room assure tout de même assez bien dans l'art de divertir. Elle use de ficelles déjà vus certes, mais elle le fait avec habilité et de manière maligne.

2 réponses

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