La scène la plus marquante de l'épisode est l'intro lorsque les prisonniers regardent un western avec en doublage japonais en live, tandis que son assistant fait les bruitages. C'est vraiment génial. Mais cela n'a rien de fantastique. Donc cela résume bien le gros souci de The Terror, c'est à dire que la série vaut plus pour son contexte que pour son côté surnaturel. Et c'est gênant, car du coup, le temps paraît long, très long surtout que la série ne s'aide pas en nous livrant une histoire peu emballante ainsi que beaucoup trop de personnages qui mourront dans notre plus grande indifférence. Même le twist final est tout pété : ainsi le fantôme en veut à l'enfant du couple principal ? Sans déc ? C'est méga original ça....

Donc voilà, The Terror n'est pas complètement nul, elle développe des aspects intéressants, mais elle demande beaucoup de courage, de temps, de persévérance et de volonté. Et comme j'ai déjà donné pour la première saison, je vais arrêter là.

La femme fantôme est-elle un yurei ou un bakemono ? Pourquoi Chester a-t-il toujours l'air d'une andouille ? Telles sont les questions dont je n'aurai jamais la réponse.

(En vérité, il y a une autre scène marquante, celle où l'aveugle se fait arracher la langue à pleines dents par le succube, mais cela dessert mon propos, donc je ne la cite qu'à la fin de mon avis. Et oui, je suis comme ça, moi. )