The Twilight Zone
La Quatrième dimension
Nous sommes transportés dans une autre dimension, une dimension faite non seulement de paysages et de sons, mais surtout d'esprits. Un voyage dans une contrée sans fin dont les frontières sont notre imagination. Un voyage au bout des ténèbres où il n'y a qu'une destination : la Quatrième Dimension.
Terminée | Américaine | 25 minutes |
Fantastique, Science-Fiction, Fantasy, Horror, Suspense, Thriller | CBS, TF1 | 1955 |
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5.03 - Cauchemar à 20 000 pieds
Nightmare at 20,000 Feet
Bob Wilson rentre chez lui en avion après une convalescence de 6 mois pour dépression nerveuse. Ce voyage est pour lui une épreuve, car c'est lors d'un précédent voyage en avion qu'il s'était effondré.
Diffusion originale : 11 octobre 1963
Diffusion française :
11 octobre 1963
Réalisat.eur.rice.s :
Richard Donner
Scénariste.s :
Richard Matheson
Guest.s :
Asa Maynor
,
Christine White
,
Ed Kemmer
,
Nick Cravat
,
William Shatner
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 03 avril 2012 à 10:43 |
Episode vraiment chouette pour plusieurs raisons, la paranoïa du gars est vraiment cool, le récit en 20 mn arrive à être très fluide sans que cela ne fasse précipiter et puis la gueule de la créature est terrible... et son corps d'Ewoks génial. Et puis j'ai un petit coup de coeur pour cette épisode, en effet un épisode des Simpsons que j'aime particulièrement le parodie et puis le héros n'est d'autre que Wiliam Shatner et le réal Richard Donner. Bref très sympa. PS: Les gars... Même en 1960 on ne pouvait pas ouvrir la fenêtres des avions à 6000 metre d'altitude sans conséquence... |
L’idée de base : Le cultissime épisode du passager (William Shatner) de l’avion pris en pleine tempête et qui est le seul à voir qu’un monstre est présent sur l’aile de l’avion et bien décidé à saboter l’appareil. Evidement tout le monde le prend pour un zinzin, d’autant que la créature se plait à disparaître lorsque quelqu’un d’autre regarde par le hublot. Je pense que cet épisode est l’un des plus connus, même de ceux qui ne l’ont jamais vu.
L’épisode : effectivement l’épisode est très bon, Richard Donner, chargé de la réalisation, injecte une tension qui ne cesse de monter, tandis que l’idée de faire de Bob un commercial sortant d’une dépression est une excellente idée, car l’on sent tout le dilemme de cet homme des années 60 ayant eu une maladie mentale (qui ne doit pas être vu comme une maladie très « masculine » à l’époque) et qui hésite entre prévenir tout le monde et risquer de passer encore pour un fou aux yeux de sa femme
Ouf : Joe Dante s’est bien éloigné du look de ce premier Gremlins pour son fils, car le côté grosse peluche/Yéti fait un peu rire aujourd’hui.
Le final : étonnement l’épisode ne laisse pas l’ambiguïté de savoir si le monstre a réellement existé ou si Bob a sombré dans la folie. Clairement, on nous dit que tout ce qu’on a vu s’est passé.
Oups : manifestement dans la 4ème dimension, les lois de la physique sont différentes que dans notre univers et la dépressurisation d’un avion lorsqu’on ouvre une porte à 20 000 pieds n’est pas un phénomène existant.