Westworld
À Westworld, un parc d'attractions dernier cri, les visiteurs paient des fortunes pour revivre le frisson de la conquête de l'Ouest. Dolores, Teddy et bien d'autres sont des androïdes à apparence humaine créés pour donner l'illusion et offrir du dépaysement aux clients. Pour ces derniers, Westworld est ...
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Terminée | Américaine, US | 60 minutes |
Science-Fiction, Western, Thriller, Drame | HBO, OCS City | 2016 |
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4.07 - Metanoia
Metanoia
Charlotte prône l'évolution vers une nouvelle espèce. Bernard persiste à croire en la possibilité d'une autre issue.
Diffusion originale : 07 août 2022
Diffusion française :
07 août 2022
Réalisat.eur.rice.s :
Meera Menon
Scénariste.s :
Denise The
,
Desa Larkin-Boutté
Guest.s :
Zahn McClarnon
,
Darien Lee
,
Braxton McAllister
,
Patrick McLain
,
Terra Strong
,
Aurora Perrineau
,
MorningStar Angeline
,
Marti Matulis
,
Joey Wilson
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 26 août 2022 à 11:54 |
Un épisode qui bouleverse pas mal l'échiquier à ce stade de la saison et donne très envie de voir la suite. Le début de l'épisode qui montre Bernard faire ses expériences simulatoires dans le Sublime est assez cool, Bernard a porté toute la saison et continue ici de le faire, et le changement de colorimétrie et de ratio dans l'image aide vraiment à vendre le contraste entre les scènes avec Maeve. Charlotte Hale a vraiment ce syndrome d'antagoniste qui a tout gagné mais ne sait pas quoi faire et qui ne comprend plus ses créations, et ce qui est assez dingue c'est que c'est quelque chose que Ford avait déjà anticipé en saison 1, dans un dialogue où on évoquait justement cette idée d'avoir tout ce qu'on veut et d'être arrivé au bout de ses motivations. J'aime beaucoup son concept de transcendance qui reste assez mystérieux, et le paradoxe qu'elle ne comprend pas pourquoi ses hôtes se blessent (et se suicident) alors que dans le même temps elle continue de s'auto-mutiler avec son bras. Pas mal de faux raccords surviennent lors de l'infiltration du siège, que ce soit sur l'heure jour/nuit, ou le fait que Christina et Teddy ne croisent absolument jamais le groupe Bernard/Maeve/Frankie/Stubbs alors qu'ils sont au même endroit... c'est normal s'ils sont dans des mondes différents, mais la fin de l'épisode confirme, lorsque William met la ville à feu et à sang, que la même chose se déroule dans le monde de Christina. On apprend ensuite par Teddy qu'elle est elle-même la simulation et que son monde est vrai, ce qui est super alléchant. La scène de la baignoire où Christina semble prendre conscience qu'elle ne peut pas mourir et "rescussite" est empreinte d'un symbole très religieux et était vachement belle. Toujours l'intrigue qui devient de plus en plus fascinante. La conclusion est donc très alléchante, tout comme William qui prend sa posture d'agent du chaos et fait ce que Charlotte n'aurait jamais pu faire. Tout l'arc de William est le plus faible de l'épisode selon moi, car ses motivations restent plus simplistes que les autres : il veut juste semer le désordre. C'est cohérent, mais on ne comprend pas bien tous les tenants et les aboutissants, et la saison n'a pas l'air de trop s'attarder sur ça. Le final me donnera peut-être tort. |
Avis favorable | Déposé le 10 août 2022 à 22:31 |
La tension d'un épisode pré fin de saison est palpable. Chaque team avance et se dirige vers son but. Le final de l'épisode me laisse perplexe : j'ai besoin de voir la suite pour dire si c'est une excellente idée ou un retournement de situation complètement con. |
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La fin est efficace, certes, avec cette atmosphère de fin du monde et la moitié du casting qui passe à la trappe. Mais comme on sait que dans Westword, la Mort n'existe pas vraiment, l'impact est amoindri.
Avant ça, j'ai subi 50 minutes crâneuses et poseuses où la série se la joue blockbuster existentielle mais ne fait que dérouler, sans aucune grâce, des péripéties qu'on retrouve dans les plus bas de gamme des jeux vidéo.
N'empêche, pauvre Bernard, prisonnier d'un concept Heaven Sent et obligé de rejouer indéfiniment une partie et à se coltiner à chaque fois les dialogues pompeux de personnages creux entre deux rebondissements débiles. Je le plains vraiment.