A Discovery of Witches
Le Livre perdu des sortilèges
Diana Bishop a renoncé depuis longtemps à un héritage familial compliqué pour privilégier ses recherches universitaires, une vie simple et ordinaire. Jusqu’au jour où elle emprunte un manuscrit alchimique : l’Ashmole 782. Elle ignore alors qu’elle vient de réveiller un ancien et terrible secret – un ...
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Terminée | Anglaise, IT, GB | 43 minutes |
Drame, Fantastique, Romance, Drama, Fantasy, Science-Fiction & Fantastique | Sky1, Sky One, Sky Max | 2018 |
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Avis sur l'épisode 1.03
Liste des épisodes
Episode 1.01
Épisode 1
Episode 1.02
Épisode 2
Episode 1.03
Épisode 3
Episode 1.04
Épisode 4
Episode 1.05
Épisode 5
Episode 1.06
Épisode 6
Episode 1.07
Épisode 7
Episode 1.08
Épisode 8
Episode spécial
A Discovery of Witches S2 - First Look
La suspension de la crédulité et l'effet celluloid.
A discovery of Witches n'est pas une mauvaise série, elle a une ambition indéniable et conserve les mêmes qualités esthétiques et son gigantesque baton dans le fondement. Mais surtout, elle souffre de l'effet celluloid, à savoir que ses personnages semblent ne pas exister au même niveau que le décor où il se trouve.
Ils coexistent entre eux, mais jamais avec d'autres éléments, d'autres personnages pour les intégrer dans l'univers où il se trouve. Du coup, l'intrigue avance assez lourdement, sans élément de transition car l'univers n'est pas connecté aux personnages. C'est au final le contraire de Teen Wolf où le fantastique ne surgissait que suite à une isolation du personnage, une mise à l'écart de l'univers du show. Il y a le monde réel, avec ses interactions classiques et, hop, petit décalage de mise en scène qui nous dit que l'on est sorti du cadre réaliste pour pénétrer un univers fantastique. Du coup, on y croit et on s'attache plus.
Mais là, il n'y a pas de second plan, tout ne se passe que sur une seule dimension, celle du celluloïd... du coup, Diana n'est pas une universitaire, Clairmont n'est pas vraiment un biologiste s'il n'y a pas ses petits éléments inutiles, ses moments du quotidien qui l'ancre dans le réel. Tout est trop lisse, du coup, difficile de s'attacher à Diana car on ne la voit pas réellement exister. Tout sonne superficiel, unidimensionnel. C'est dommage, car Matthew Goode est excellent.