Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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Avis sur l'épisode 10.05
Avis neutre | Déposé le 24 septembre 2017 à 22:33 |
J'attendais beaucoup de cet épisode, au vu de la note moyenne qui me laissait espérer une éclaircie dans cette saison moisie. J'ai trouvé la critique du capitalisme martelée avec la subtilité d'un reportage BFM TV. Je ne vois pas tellement de différences avec d'autres épisodes, sur le thème des idées mal exploitées, comme d'autres l'ont dit ici. Bill est aussi peu caractérisée, en ce moment, que la Clara moderne de la saison 7. Il ne me reste plus qu'à serrer les dents jusqu'à l'épisode 11 au vu des notes que vous mettez ^^' |
Avis favorable | Déposé le 17 juin 2017 à 23:31 |
Avis modéré par la rédaction de Série-All. |
Avis favorable | Déposé le 23 mai 2017 à 20:08 |
Jamie Mathieson viens paradoxalement redonner du souffle à cette 10ème saison qui en avais bien besoin dans un épisode qui parle justement d'une époque où les pires vices du capitalisme ont tellement été poussés à l'extrême que l'oxygène lui-même est devenu une denrée marchandable à la respiration près. En effet si notre petit prodige de l'ère Moffat ne nous aura pas offert ici son meilleur épisode à cause de quelques défauts l'empêchant de vraiment sortir du lot (le rythme est un peu bancal et certains effets passent moyen) force est de constater qu'il conserve son titre de meilleur nouveau scénariste (et l'un des plus intéressants) de l'ère Moffat sans trop de difficulté, à travers un épisode riche en idées et trouvailles visuelles, très efficace la plupart du temps et porté par un sous-texte très intéressant et assez bien exploité. Cerise sur le gâteau, il est pour l'instant le seul scénariste à avoir su employer Nardole de manière intéressante et efficace. C'est la première fois qu'il m'a fait vraiment rire par moment et je trouve qu'il commence à gagner ici une vraie épaisseur (et pas celle de façade que les épisodes 2 à 4 ont tenté de lui fourguer sans succès). Et c'est assez bien joué qu'il ait réussi à rattraper le coup dans cet épisode précis car ça permet de compenser le fait que Bill aura quand même sacrément fanée en termes de fraîcheur et d'intérêt ces deux derniers épisodes ... Espérons donc que les fondations posées ici sauront être correctement poursuivies par Moffat et les scénaristes suivants, et que Bill retrouve vite des couleurs ... Quand au Docteur aveugle, bien qu'ils n'en fassent trop rien dans cet épisode et que ce n'est pour l'instant qu'une énième promesse Moffatienne qu'il pourra donc avoir tout le temps de piétiner par la suite, j'avoue qu'en termes de showrunning sur le papier c'est une excellente idée d'arc, non seulement en lui-même mais aussi dans le fait que ça survienne maintenant et de cette façon, permettant ainsi de relancer intelligemment l'intrigue du coffre alors que cette dernière s'enlisait méchamment depuis le season premiere. Ca va peut être être la bonne idée qui pourra vraiment lancer (sauver ?) la saison. Je reste cependant méfiant car Moffat nous a plus d'une fois salopé, et en particulier ces dernières années, des potentiels. Même s'il faut reconnaître que pour l'instant, en termes de showrunning pur, cette 10ème saison est sans doute pour l'instant la plus réussie de Capaldi. Dommage que la qualité des épisodes n'aient jusqu'à présent globalement pas suivi ... Bref, on pourra toujours remercier Jamie d'avoir permis à cette saison d'avoir au moins un bon épisode. C'est en effet mine de rien le premier épisode depuis 6 d'entre eux à pouvoir prétendre à ce titre pour moi (ce qui en fait pour l'instant très aisément le meilleur de la saison) et perso j'ai le sentiment malgré de belles promesse pour la suite qu'on ne va peut être pas en avoir tant que ça cette année ... |
Avis favorable | Déposé le 20 mai 2017 à 01:04 |
Spoiler
Un épisode qui fait plaisir ! Certes, l'épisode est enlisé dans les mêmes petits problèmes que tout le reste de la saison, à savoir un rythme un peu bancal, une compagne sympathique mais assez passive (et dites-moi qui a eu l'idée toute pourrie de la faire avoir des flashs de sa mère biologique avant sa "mort" ?), quelques effets cheaps, un casting secondaire un peu inexistant, un fil rouge du coffre pas passionnant... (... ça en fait un petit paquet de défauts communs à tous les épisodes cette saison, dites-moi !) C'est plus ou moins pardonné parce que l'épisode a un tas de bonnes idées, des ennemis cools, qu'il s'agit tout de même du récit le plus captivant qu'on ait eu jusque là et que la morale en fond est superbe. Et puis pas mal de ces défauts sont mitigés. La séquence moche (la traversée dehors) est justifiée dans l'histoire. Le rythme n'est pas vraiment mauvais car le goût de la découverte est présent. Nardole signe probablement son apparition la plus intéressante. Très bonne idée d'arc narratif par ailleurs, à défaut d'avoir été beaucoup exploitée dans l'épisode, le fait que le Docteur soit aveugle. Concrètement ça ne change absolument rien qu'il soit aveugle dans l'histoire, je pense que tout le passage "traversée dans le vide" se déroulant lorsqu'il ne reste plus qu'un quart d'heure d'épisode, aurait dû/pu intervenir dix minutes plus tôt afin de rendre le scénario vraiment efficace. Je me demande aussi pourquoi le Doc ne peut pas simplement se soigner par de l'énergie régénératrice, mais bon, je suppose que même le Seigneur du Temps a ses limites... Comme d'habitude avec Mathieson la résolution est géniale et permet de faire passer la pilule sur le reste. Il faut en effet souligner que les combinaisons sont les seuls "ennemis" de l'épisode et qu'il n'y a donc pas de méchants... si ce n'est le profit. Même si ça reste probablement l'épisode de Mathieson que j'aime le moins, c'est de la bonne sci-fi et du bon Who. Surtout, avec l'épisode 2 et le 3, la saison s'ancre vraiment dans des messages toujours plus anti-capitalistes de façon directe et efficace, ce qui donne un côté assez cool au run de Twelve. Il démarrait moralement douteux, il finit par éduquer l'audience.
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Avis favorable | Déposé le 17 mai 2017 à 21:59 |
Spoiler
Un bon épisode. Le personnage de Nardole, l'idée des combinaisons, le Docteur aveugle, c'était sympa.^^ |
Avis favorable | Déposé le 15 mai 2017 à 23:51 |
Hé ben.. En voilà un épisode qu''il était bien. Contrairement au précédent, c'est un slasher qui sort les bonnes idées au bon moment avec les bonnes citations (Alien 1 et 2001). Ca fourmille de petites idées chouettes : le casque qui se déplie, la combi de Bill qui déraille, le Docteur qui doit la "sacrifier" et cette merveilleuse idée d'un Docteur aveugle. Quand il le devient, je me suis dit que ça ferait un bon arc. Et ils le font ! Le tout en raccordant l'ensemble au fait que c'est le premier docteur à porter des lunettes de soleil. Ça souligne en tout cas qu'au fond, que la seule chose qui puisse vaincre le Docteur, c'est : le vide. Et ça, je trouve que c'est un message vraiment intéressant pour la série. Non, c'était vraiment bien, angoissant quand il le fallait et avec un discours social en arrière fond. De la vraie science-fiction quoi. PS : Nardole qui avoue calmement qu'il avait une autre tête avant. Le coin du Nardole va-t-il s'en remettre ? |
Avis favorable | Déposé le 13 mai 2017 à 21:17 |
Pas le meilleur de Mathieson (Il vaut pas Mummy et surtout The Girl Who Died) mais c'était bien sympa, Murray Gold s'est enfin réveillé, le thème de Twelve était enfin utilisé correctement, Nardole était bien sympathique et Bill excellente contrairement au précédant dans lequel elle était insupportable. Bon twist de fin même si c'était malheureusement, une fois de plus cette saison, vite expédié. Par contre ce cliff !! Excellent! |
Une histoire de base assiégée vraiment tendue où le grand méchant c’est le Capital qui réduit les gens à des combinaisons tueuses qui errent dans le vide. Aux grimaces des morts s’ajoute alors surtout la violence d’un système