Décidément, cette série a le don de mettre mal a laisse, de faire peur.

La consomation, la publicité, les nouvelles technologie ? Un bien ou un mal ....

Cette série dénonce notre société ou l'on vit pour consomer.

C'est la première fois que je donne un avis sur une série mais celle-ci me donne vraiment envie, ce qui est super paradoxal étant donné le sujet traité qui me fait passer justement derrière le black mirror alors qu'il faut s'en éloigner.

je connaissais pas la fille mais l'acteur black est époustouflant dans son monologue.

que dire sur l'épisode :

le scénario nous donne une version pas dystopique du futur éventuel de l'utilisation du virtuel.

apparemment plus personne ne travaille et on s'alimente par distributeur. certains doivent pédaler surement pour fournir l'énergie électrique. d'autre ramasse les détritus car un physique pas apte pour pédaler toute la journée. Et la seule issue pour se sortir de se marasme est d'être sélectionné à l'émission style star ac ou consors, et accepter de faire du porno ou pire encore de faire le contraire de ses convictions les plus profondes.

bref la réalité quotidienne : que suis je près à accepter pour continuer de payer mes crédits.

une chanson qui me fait penser à l'épisode : j'me fais mal (etyl).

moment préféré de l'épisode : le monologue et lorsque dans les wc il dit bonne chance en faisant en geste de la main en va et viens et que le site coquin arrive.

C'est amusant comme cet épisode, pourtant ancré dans un univers beaucoup plus fantastique, est au fond plus réaliste que le précédent. Ça me fait beaucoup penser à 1984. C'est très gênant et perspicace dans les propos.Un épisode génial sur quasiment tous les points. Peut-être un manque de nuances cependant mais qu'importe, c'est surement ce que la télé peut offrir de plus intelligent et divertissant à la fois!!

Un sentiment bizarre à la fin de cet épisode.

Tout est pertinent, esthétiquement c'est parfait, le jeu des acteurs est fantastique, le concept est génial, le message est clair et nous renvoie à notre réalité. Mais, car il y a un mais, je ne sais pas pourquoi, je ne suis jamais vraiment rentré dans l'épisode. Peut-être que ça m'a trop dérangé, trop amené à réfléchir, en tout cas, même si l'heure est passée vite, je ne peux pas dire que j'ai adoré. Ca me laisse vraiment un sentiment bizarre, un truc que j'avais jamais ressenti auparavant pour une série ou même un épisode.

La claque totale...

Je ne m'attendais pas du tout à ça (enfin si, un peu, après avoir survolé les avis de cet épisode).

Très bon épisode, super léché, super bien interprété et Jessica Brown Findlay dans le futur c'est un peu déroutant mais c'est payant.

Mais c'est surtout un épisode d'une tristesse absolue, on se sent seul et impuissant...et cette fin d'une cynique fatalité m'a vraiment dérangé.

J'ai juste adoré.

Certes c'est pas super fin, c'est effectivement un poil répétif dans sa mécanique, et l'extrapolation peut agacer.

Mais moi j'y ai vu une fable, une satyre incroyablement pertinente, des acteurs géniaux, un univers visuellement incroyable et qui fourmille de détails, une vrai cohérence et une fin formidable et terriblement pessimiste.

En fait comme le dit spoon, ça soulève un tas de thèmes et il y a tant de choses à dire que ça mériterait une vraie et profonde analyse.

Mais vu que je suis un sale fainéant et que j'ai la flemme de continuer d'argumenter.

Je vais juste vous dire que c'est génial et que l'on a tout a apprendre des anglais.

Déjà que j'avais globalement bien aimé le premier épisode, mais alors celui-là c'est encore autre chose ! Ici, non seulement la provocation est plus subtile, plus fine, mais l'univers est également plus complexe et les personnages plus attachants.

Le (sur)réalisme du premier épisode laisse place ici à un univers de science-fiction extrapolant à l'extrême certains aspects de notre société actuelle pour mieux les dénoncer. L'épisode dénonce ainsi entre autres le fait que la plupart des gens passent plus de temps dans le monde virtuel que le monde réel (l'argent qu'ils gagnent leur servent à par exemple changer la coupe de cheveux de leur avatar), mais surtout qu'ils sont conditionnés par la société pour le faire.

C'est donc ici la société de consommation qui est critiquée : les gros sont considérés comme des moins que rien, les gens sont bombardés de publicités toute la journée (le fait qu'ils ne peuvent pas les passer pouvant symboliser le fait qu'il y en a partout), la télé-réalité est le seul objectif ultime de réussite,...

Bien sûr l'exagération n'est pas moins présente que dans l'épisode précédent, mais elle est mieux gérée, un peu plus intelligente, et il n'y a plus ce côté malsain qui pouvait gêner. Et puis l'épisode contient je trouve davantage de moments forts après une introduction qui prend son temps (c'est quasiment un film au final) : le chant de miss Jessica Brown Findlay (la seule raison pour laquelle j'ai continué la saison 1 de Downton Abbey jusqu'au bout), à la fois magnifique et troublant (très bon choix de chanson d'ailleurs), le monologue du personnage principal qui fait froid dans le dos (et notamment les réactions qui suivent du jury), ou encore la fin de l'épisode très cynique (non seulement le personnage s'est laissé prendre par le système, mais en plus le paysage magnifique promis n'est encore une fois que du toc).

Bref, du grand art, et qui montre qu'aujourd'hui les plus grands films d'anticipation ne sont pas nécessairement au cinéma.

Contrairement à la pensée de beaucoup, je trouve que les 3 épisodes de black mirror sont liés et semblables. La mise en scène des deux derniers n'est qu'une facilité permettant de mettre en avant un problème de société actuelle. Dans le premier épisode, c'est le choc, le dégoût, la violence qui permettait ceci, dans les suivants, c'est la technologie qui le permet. Mais n'oubliez pas, ceci ne représente pas le futur, mais une vision (pas si) caricaturale de notre monde.

On parle donc dans cet épisode de l'abrutissement de la société, les gens sont de plus en plus pris comme une masse indifférencié. Le seul moyen de sortir de cette masse est de travailler, de faire qqchose d'inintéressant pendant un temps plus ou moins long, pour avoir la chance de devenir une star de la chanson ou du porno. Et pendant tout ce temps passé à subir sa vie, on vous vend de plus en plus de choses inutiles et on vous bourre de plus en plus le crâne. C'est le reflet de notre société. Une masse que l'on essaie de conditionner.

Je ne m'arreterais pas sur les moyens mis en oeuvre ou sur la qualité des détails qui sont au top, comme dans le premier épisode (voir même plus).

Il y a énormément de choses à voir dans cet épisode et je suis loin d'avoir tout décrit.

Je rejoins les avis précédents. Moi qui pensais que ce second épisode allait développer les intrigues du premier, j'ai vraiment pris une claque. On débarque dans un concept de monde que j'ai vraiment trouvé génial, qui décrit une existence où le monde réel gravite autour du monde "virtuel" (facebook, internet, la télé-réalité...), où on ne vit que pour cette virtualité. C'est très pessimiste et assez bien fait pour que ce soit crédible, avec beaucoup d'éléments actuels mais poussés à l'extrême.

Finalement, très peu de dialogues tout au long de l'épisode, c'est en quelque sorte voulu par le concept de l'univers et ça permet d'insister encore plus sur le monologue de fin qui en devient encore plus percutant.

Autant le premier épisode m'avait laissé de marbre autant ce second épisode est sympathique est infiniment supérieur au pilot .

Visuellement c'est beau , l'interpretation des deux personnages est de qualité cependant le concept est trop répétitif .

Dans l'ensemble j'ai était captiver pendant la majeur partie de l’épisode , & à mon sens maintenir l’intérêt du spectateur de façon constante est un gage de qualité . Un bon épisode donc , en attendant confirmation !