J'adore quand Noël rencontre l'horreur : 12 jours pour 12 épisodes racontant chacun une histoire dans la ville de Saturn. Les épisodes sont inégaux, mais j'ai passé un bon moment et c'était même parfois drôle.

Le générique est très bien fait et plein de références aux épisodes.

Dommage qu'il n'y ait pas plus de saisons ou de séries dans ce style.

J'avais adoré la première saison, qui est bien meilleure que le livre (qui se contente de nous raconter Clay qui écoute les cassettes sur une nuit), car elle a su développer les personnages et l'univers.

La saison 2 a apporté un autre point de vue et une fin à l'histoire d'Hannah et était super aussi, sauf le dernier épisode que j'ai détesté... en partie parce qu'il annonçait une saison 3.

La saison 3 a bénéficié d'un lancement original

mais elle était tellement mauvaise : longue, ennuyeuse, et un nouveau personnage insupportable.

La saison 4 a suivi la saison 3 dans la médiocrité.

J'ai beaucoup aimé cette série malgré quelques lenteurs et l'intrigue de la voisine sexy totalement inutile.

Dommage qu'elle ait été annulée.

J'ai regardé la série un peu par nostalgie de l'originale et aussi parce qu'elle était fraîche et sympa. J'ai adoré Naomi qui n'a fait qu'évoluer au fil du temps. Mais les autres personnages ont perdus de leur intérêt (Annie, Liam), ou sont devenus totalement inutiles à partir de la 3ème saison (Silver, Navid et Adrianna).

Quelle horreur !

Une saison parodique sur la vie des acteurs qui se retrouvent pour potentiellement tourner une suite de la série... Mais quelle idée nulle ! Et c'est tellement mauvais. Les acteurs sont juste là pour en faire trop dans un scénario sans intérêt.

A fuir absolument !

Une première saison surprenante, bien écrite, drôle et qui partage avec nous un monde particulier de manière décomplexée et intéressante. Dommage qu'elle ait un final aussi mauvais.

Cet épisode n'était pas très intéressant : l'arrivée de ce nouveau patron est brouillonne et pénible.

Josh et Rebecca toujours beurk.

Cet épisode était mieux que le précédent : Rebecca comprend petit à petit des choses sur elle, même si la série repousse encore une fois de manière maladroite son introspection.

J'ai trouvé Josh sensible et touchant, enfin.

La partie Darryl versus nouveau Boss était la plus intéressante et ça commence à devenir fun.

Rebecca qui est heureuse avec un homme dans une relation stable et sérieuse qu’elle commence à foutre en l’air pour un autre homme : vu, revu et re-revu ! Mais bon, comment la blâmer lorsqu’il s’agit de Scott Michael Foster ?

Le running gag « George » est devenu d’une lourdeur infinie.

Gros plus de l’épisode : Paula et Darryl. Ce dernier n’est vraiment pas apprécia à sa juste valeur (et qu’en est-il de son duo avec Maya ? et son couple avec White Josh ?).

Cet épisode est d'une longueur. L'empressement de Rebecca pour se marier correspond à toutes ces choses qu'elle fait toujours avec une telle urgence que je n'arrive plus à reprendre mon souffle en les regardant. C'était triste, navrant et je sens un final très prévisible (Rebecca attirée par son boss, Josh attiré par sa pote du basket = mariage qui tourne au vinaigre).

La partie sur les pères décevants et le fait que Valencia trouve enfin sa voie en organisatrice de mariage sont des petits plus qui sauvent cet épisode.