Primeval, c'est pas la série du siècle mais ça reste une série très divertissante. Le nombre restreint d'épisode dans une saison permet à l'intrigue de bien avancer. On s’ennuie donc rarement à part dans certains épisodes où l'intrigue principale n'avance pas et où il s'agit juste de tuer des bêtes. Primeval, c'est aussi une des rares série qui ne s’encombre pas des personnages au fil des épisodes. Si c'est la fin d'un personnage, il part (ou meurt) dans la logique de l'intrigue. Par contre une de mes critiques serait que l'intrigue souffre parfois de petites incohérences (c'est le problème avec les voyages dans le temps, le spectateurs et même parfois les scénaristes s'emmêlent un peu les pinceaux). Ex : jamais compris comment Claudia Brown était devenu Jenny Lewis... Sinon dans la saison 1, les créatures sont assez mal faites mais plus on avances plus s'est réaliste. Les vers et les insectes m'ont donnée de vrais frissons d'horreur !

C'est pas mal. J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans la série et je ne pense pas avoir encore complétement adhérer à l'humour de la série. Je me suis beaucoup ennuyée pendant certains épisodes. Malgré tout le point fort de la série sont les personnages complétement barrés et attachants. Gob et Tobias plus particulièrement. Et si je me suis ennuyée sur certains épisodes, je me suis bien marrée sur d'autres (surtout en milieu de saison, avec entre autre le quiproquo "hermano"). Je reste "favorable" mais je suis pas loin du neutre car pour moi, la saison reste assez inégale.

Une saison bien cool à suivre et qui vaut surtout par son humour et ses personnages (surtout Val, la mère et parfois Sadie) L'intrigue en elle même étant assez bateau : triangle amoureux adolescents, c'est sauvé par une héroïne assez attachante et ses deux amies. Dommage que l'humour soit un peu laissé de côté dans la fin de saison pour se concentrer un peu plus sur l'avancé des amourettes. Sadie : légèrement mono expressive en mode "bitch", ce qui est dommage, le personnage étant le seul à ne pas évoluer.

Une bonne saison pour Downton Abbey mais je n'irais pas jusqu'à dire que c'était addictif. C'est très bien filmé, il y a de beaux décors, de bons acteurs. L’intrigue prend le temps d'évoluer logiquement. Mais ce qui m'a posé problème ce sont les personnages. Je m'attendais à plus de background et de mystères pour chacun d'eux. Quand on en apprend à peu plus sur Hughes ou Carson, ce n'est pas très révolutionnaire ou intéressant : elle a laissé l'amour de sa vie et lui est ancien acteur. Ils sont tous supers gentils et bienveillants entre eux et les seuls qui prennent tous les défauts sont O'brien et Thomas qui ne sont presque jamais positifs. J'espérais un peu plus de complexité chez les personnages.

Une première saison qui se regarde sans être exceptionnelle. Ce n'est pas celle-ci qui m'a fait complètement apprécier la série en tout cas. Car, j'ai du mal à m'attacher à Vince comme le titre l'indique, c'est plutôt à son entourage que s'attache le spectateur. Malgré tout, pas mal d'humour. On sent entre autre le potentiel du personnage de Ari. Les dialogues entre les mecs sont super bien écrits je trouve, les blagues fusent ainsi que l'épisode. On voit pas passer le temps.

La tension est toujours là depuis deux épisodes, la qualité aussi ! Les personnages sont complètement perdus et on souffre avec eux.

J'ai beaucoup entendu parler de ce final si bien que j'avais peur que mes attentes soient déçues. Mais je pense que je n'aurais pas du, je me suis tellement attachée aux personnages durant ses 5 saisons qu'il est impossible d'être déçue par cet épisode. Ce final ne déroge pas à la ligne de conduite des 5 saisons : il est éblouissant de justesse et d'émotion. Après la douleur des épisodes précédents, les personnages tentent de remonter la pente mais ils se heurtent à leur douleur et à leur peur. Et c'est extrêmement touchant. Brenda, qui a peur pour son bébé et de ne pas être à la hauteur. Le passage entre Ruth et Claire est poignant. Ruth, d'ailleurs qui trouve enfin la force de ne pas retomber dans ses vieux schémas en se réinstallant avec George. Et cette image à la fin, où est libérée de toutes ses peurs est magnifique. Que dire aussi du repas d'adieu de Claire et des adieux sur le perron. On a suivit les personnages depuis le début et les voir évoluer ainsi pour enfin trouver la voix du bonheur est ce qui m'a le plus transporté. Surtout quand on se souvient dans quelle situation ils étaient au pilot. L'épisode pouvait terminer là dessus mais il va plus loin et atteint son apogée avec les dernières minutes. Ce petit condensé de vie des personnages conclue parfaitement la série : vie, joie, mort, amour. Tout ce dont parle la série est repris alors. et là les larmes coulent parce que je percute. La vie est éphémère, la mort en fait parti et il faut arrêter d'avoir peur pour avancer. Je dois dire que chaque nom sur fond blanc m'a donné un coup au cœur, preuve encore de combien je m'étais attachée aux personnages. Maintenant, j'ai fini SFU et j'ai la même impression que quand je finis un bouquin, ça me fait toujours quelque chose de laisser les personnages derrière moi. Là c'est exactement la même chose.

Sympathique ce pilot ! Pas de gros éclats de rire mais je me suis tout de suite attachée aux personnages (ce qui est un énorme point par rapport à 2 broke girls...) Mention spécial à Dallas. Je ne voyais en elle qu'une caricature mais la scène avec le soutien gorge était très bien vue et assez attendrissante. Cela fait penser que toutes ces blondes ne sont pas juste là pour qu'on se moque d'elles mais qu'elles vont sans doute se faire une place dans la série.

Un pilot gentillet qui repose sur une histoire assez bateau (famille riche/famille pauvre), l'originalité étant que l'une des filles soit sourde. Le personnage est d'ailleurs très attachant (contrairement à Bay) Bon après c'est du ABC family donc l'action se déroule sans trop de surprise et on devine assez facilement quel peut être la suite de l'intrigue. Je regarderai peut être la suite, dans le catégorie "série de l'été pas prise de tête"