Critique : Gossip Girl 2.01

Le 16 octobre 2009 à 00:00  |  ~ 3 minutes de lecture
Entrée en matière pour la seconde saison du show de la CW. Après une première saison en demi-teinte, la jeunesse dorée de New York arrivera t-elle à sortir de son calme et de son ennui de la première année?
Par Goodbauer

Critique : Gossip Girl 2.01

~ 3 minutes de lecture
Entrée en matière pour la seconde saison du show de la CW. Après une première saison en demi-teinte, la jeunesse dorée de New York arrivera t-elle à sortir de son calme et de son ennui de la première année?
Par Goodbauer

Seconde année pour la série, et dernière rentrée au lycée pour nos jeunes camarades de L'Upper East Side.

Si l'on se réfère aux différentes critiques provenant de la première saison, le show n'a pas forcément été à la hauteur des espérances de tous les téléspectateurs. Les audiences moyennes, les histoires peu intéressantes et la grève des scénaristes n'a pas aidé la série a bien démarré. Après un été de repos, la série reprend avec derrière elle un buzz assez important, tous les épisodes ont été rediffusés sur la chaîne CW, des promos sur le web ont fleuri tout l'été et différentes rumeurs sont nées en quelques semaines. . .

Il est donc temps de faire un bilan de cette petite introduction pour une saison à venir de 25 épisodes.

 

Alors que TF1 lança à la même époque la diffusion de la première saison, aux USA c'est déjà l'heure du lancement de la seconde. La série revient en force et avec même un record d'audience à la clé. Bon je ne vais pas cacher que Gossip est loin d'être ma chouchoute mais cela reste un shwo plaisant à suivre. Dans cet épisode toute la troupe de New York est en vacances dans les Hampton avec au programme "sexe" (tout est relatif dans cette série), déballages, ragots, sentiments inavoués et tout le tralala des riches étudiants des USA. . .

 

Quitter la Big Apple n'est pas une mauvaise idée en soit, l'air est pur près de la mer, on se déshabille bien plus facilement et pour une fois la série met un léger sur-plus de sexe dans son épisode avec le charmant Nate qui est en train de devenir le Silas de Weeds, le Peter Petrelli de Heroes, en gros il joue plus de son physique que de son talent d'acteur mais qu'importe, on est pas là pour voir des cerveaux.

Dan et Jenny, les deux frangins de New York apprennent à vivre sans papa qui est en tournée (son côté mauvais musicien le perdra), pas de vacances pour eux, je sais c'est injuste mais Dan prend ce temps pour jouer le Dom Juan et nous faire quelques histoires avec plusieurs filles en même temps . . . C'est qu'il a bien changé le petit gars. . .

 

Blair revient de Paris (dans toutes les séries ont nous vend ce genre de détail, c'est usant à force) avec un gars "gadget" qui parle 6 langues, qui n'est pas très beau au passage, juste histoire de rendre jaloux Chuck. Ce dernier ne cache pas les belles filles qu'il fréquente en même temps. Au passage, je précise que Chuck fut mon personnage préféré lors de la première saison, son côté dragueur, manipulateur et drôle m'a convaincu. Les fêtes, la musique, l'alcool sont de la partie aussi, c'est d'ailleurs l'une des marques de fabrique de la série et ce qui met du piment au scénario. Gossip Girl ne sera pas encore la série de l'année mais bon, on passe de bons moments et c'est bien léger pour supporter la rentrée . . .

A noter que c'est un meilleur démarrage en terme de qualité que l'année dernière. . .

 

 

Ce que j'ai aimé :

 

  • Le changement de cap de la série (moins de lycée, plus de liberté)
  • Le côté plus "aéré" de l'épisode, nous ne sommes pas coincé à New York

 

 

Ce que je n'ai pas aimé :

 

  • Le peu d'intérêt que l'on porte comme souvent aux histoires présentes.
  • L'absence de scènes que l'on a pu voir en promo . . . La série n'a donc toujours pas d'audace.

 

 

Note: 12/20

Retrouvez toutes les critiques de Goodbauer sur son blog: La Vie en Séries.

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