Arrested Development
Veuf avec un fils de 13 ans, Michael est parti s'installer en Arizona pour débuter une nouvelle vie loin de sa riche famille. En apprenant l'arrestation de son père suite à des magouilles financières, Michael est contraint de rentrer auprès des siens.
| Terminée | Américaine | 25 minutes |
| Comédie, Comedy | Fox, Comédie!, Netflix | 2003 |
4 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
Avis sur la saison 1
Gizmo
alfaborg| Avis neutre | Déposé le 05 septembre 2012 à 12:05 |
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Arfff, je me suis accroché jusqu'au 5ème épisode, mais la mayonnaise n'a pas pris. Je me suis lancé dans la série au vu de l'engouement assez général. Je m'attendais à beaucoup mieux . Peut-être que j'en espérais trop, justement. C'est pourtant a priori mon style d'humour, mais la forme, la photo, le style narratif ne me plaisent pas plus que ça. Et au final c'est juste un peu drôle mais sans plus. J'abandonne donc à regret après 5 épisodes, n'ayant pas du tout été emporté. J'avoue que j'ai l'impression de passer à côté de quelque chose, quand je lis les critiques dithyrambiques. Qu'est ce qui m'échappe ? Est-ce que ça vient de moi ? Je n'ai pas la réponse, mais je sais que je pourrais citer des dizaines de séries qui me plaisent bien plus que ce que je viens de subir volontairement. |
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lily| Avis favorable | Déposé le 30 juillet 2011 à 15:10 |
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C'est pas mal. J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans la série et je ne pense pas avoir encore complétement adhérer à l'humour de la série. Je me suis beaucoup ennuyée pendant certains épisodes. Malgré tout le point fort de la série sont les personnages complétement barrés et attachants. Gob et Tobias plus particulièrement. Et si je me suis ennuyée sur certains épisodes, je me suis bien marrée sur d'autres (surtout en milieu de saison, avec entre autre le quiproquo "hermano"). Je reste "favorable" mais je suis pas loin du neutre car pour moi, la saison reste assez inégale. |
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Malgré des débuts un peu difficiles, on s'attache très vite à cette bande de timbrés et à leurs intrigues loufoques. La deuxième moitié de la saison passe toute seule, et on en redemande !