Après les gags sexistes du précédents, voilà maintenant l'homophobie. Oh Graignos, ce n'est pas un Bingo, le but n'est pas de faire tous les clichés des comédies beaufs, voire de la culture de l'ultra-virilité urbaine. 

C'est fou tout de même ce paradoxe d'une série écrites par des mecs, sur des mecs, qui s'adressent à un public de mecs, avec des personnages de mecs contents d'être entre mecs et qui ont en point commun un certain dénigrement des femmes (uniquement bonne à baiser, à jouer à la maman lorsqu'elles sont en couple ou à être casse-couille), mais qui se retrouvent méga-super mal à l'aise avec l'homosexualité. C'est paradoxal et très triste que ce manque d'ouverture d'esprit.