Craignos revient dans un format plus long et on y retrouve sa force (cette énergie, les punchlines de Zadi (surtout qu’il est en voix-off), ses personnages atypiques (Maquette me fait bien rire) et ses guests (Eric Judor et Sebastien Thoen), mais aussi ses faiblesses (des moments de flottement comme lors du talk-show et surtout une brotherhood un peu fatigante).

Par contre, je suis circonspect lorsque j’ai lu que France 2 avait accepté de financer cette saison 2 si Zadi développait les intrigues sur les mafieux. Or, c’était ce qui était le moins convaincant lors de la première saison. A voir (avec en plus Nicolas d’Hélène et les Garçons en malfrat, idée qui fait autant peur qu’elle intrigue).