L’écriture de Ally reste dans le conventionnel, avec relation compliquée avec sa sœur et ses parents qui la rabaissent (coucou Fleabag, Undone, etc, etc). Mais son discours à la fin était méga touchant, dommage qu’il soit gâché par le piano en bande sonore. Alors ok, de manière maline, l’épisode rattache ce gimmick musical à la chanson du début, mais que je déteste ce procédé qui appuie un moment triste, comme si le spectateur, idiot, n’avait pas compris. Cela m’a douché et c’est dommage, car je le répète, le discours avait un fort potentiel.

Après, ces réserves ne m’ont pas empêché de bien aimer cet épisode qui comporte 3 moments dégageant des émotions diverses :

-       Le très duo musical en début et repris en fin dans la voiture, scène qui ouvre toutes les portes au dernier épisode.

-       L’humour noire et bête et méchant avec le lapin agonisant.

-       Le bien dégueux avec la scène de la diarrhée.