En thérapie
Paris, automne 2015. Dans le cabinet d’analyse de Philippe Dayan, près de la place de la République, se succèdent jour après jour une chirurgienne en plein désarroi amoureux, un couple en crise, une ado suicidaire… Mais, un soir de novembre, des tueurs entrent dans Paris. Quelques jours plus tard, un agent de ...
Lire le résumé complet >
| En cours | Française, FR | 26 minutes |
| Drama, Drame | Arte | 2021 |
0 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 1.34
nicknackpadiwak
Koss| Avis favorable | Déposé le 02 avril 2021 à 15:42 |
|
En psychanalytique, ici plus qu'ailleurs, il n'y a pas de vérité. Chacun vient avec sa propre subjectivité et repart avec. Du point de vue froid et presque brutal de Leonora -et elle le dit) ils sont venus pour réparer leur couple et quand ils partent, ils vont divorcer. Pour Damien, alors qu'il était de loin, le plus réticient, il est celui qui a sans doute été le plus à l'écoute de Dayan et sort probablement renforcé de ces scéances. Alors où est le juste là-dedans ? Positif ou négatif ? Sans doute un peu des deux : Damien évitera probablement de se retrouver dans une pareille relation et Leonora devra encore faire un long travail sur elle (si elle le fait). De tous les patients, ils étaient les plus usant (Adel y compris). Je suis sorti de leur épisode comme presque fatigué à chaque fois, sans doute parce que la dynamique de couple est la chose la plus universelle au monde. Mais au final, c'est sans aucun doute cet avant-dernier épisode qui parvient le mieux à faire la synthèse sur ce qu'est la série, avec ses vérités, ses non-dits et ses mensonges. |
|
Dernier épisode pour Damien et la terrible Leonora qui nous démontrent une dernière fois qu'ils ne vont pas me manquer, surtout elle qui, selon moi, aurait besoin d'un vrai suivi psychologique personnalisé, mais pas avec Dayan, pas lors de la saison 2, pas avec nous, par pitié.
Le dernier moment où le couple se retrouve briévement pour tenter d'assurer un minimun de dégats pour leur fils est beau, je l'avoue.