Dillon - Texas revient et si certaines choses changent (Landry et Julie se cassent, l'équipe accueille un nouveau joueur, Tamy s'est fait lourder de don ancien job et retourne à la case départ), le fond reste le même (Coach Taylor fait les gros yeux, tout le monde s'ennuie un peu dans cette bourgade et on n'attend que le match du vendredi soir pour s'enflammer un peu et sortir des bluettes amoureuses ou de l'alcoolisme latent). Mais notamment, ce qui ne change pas, ce sont ces matchs complètement fous où les Lions, bien que menés de 3 touchdowns, remontent le score et gagnent à la dernière seconde. Une nouvelle fois. Comme à chaque fois. Sérieusement, après, 5 saisons, j'espérais que la série grandirait un peu de ce point de vue là. Ces victoires miraculeuses systématiques sont d'autant plus étonnantes que tout le reste de FNL est hyper-réaliste, à la limite du naturalisme. Mais il semblerait que dès qu'il s'agit d'écrire un match, les scénaristes perdent tous leurs moyens et font dans le spectaculaire, au détriment du vraisemblable. 

Du coup, ça a un peu gâché mon plaisir de retrouver toutes ces vieilles connaissances et mon retour sous le soleil du Texas.