"- Et là, on fait que les héros, y prennent des drogues et foutent le dawa chez un mec qui veut dormir parce qu'il opère le lendemain, car c'est un chirurgien.

- Le con! Excellent !

- Et pour les meufs, on meuble avec un subplot à la con où elles font la fête avec des vieux. Tellement qu'il y en a un qui a un malaise.

- Trop subversif, j'achète."

Voilà comment je vois l'écriture des scénarios. Alors je ne sais pas si de la maladresse, de la paresse ou du cynisme, mais j'accroche pas du tout.

Tout comme le procédé qui, (comme les rires enregistrés sont ringards), de montrer la tête d'une personne désabusée ou décontenancée (le cours du tennis, le copain de Max) pour marquer un gag. C'est trop systématique pour que cela passe.

Parlant de la scène du tennis, je trouve aussi qu'il y a de la relâche au niveau de la direction des acteurs qui cabotinent à qui le mieux. En ce sens, le personnage de Shaunna est assez incroyable (et catastrophique).

Pour finir, je vais évoquer la partie avec les filles, totalement inutile et jamais drôle (si, une fois, quand Sam essaie de monter sur le piano en arrière plan), que je soupçonne d'avoir été écrite uniquement pour donner du temps d'antenne aux personnages féminins.

Et je suis vraiment surpris que Cobie Smulders revienne avec un personnage si secondaire, tellement en retrait. Lisa, pour l'instant, n'existe pas ou uniquement vis à vis du regard des autres (la femme trompée).

Bref, ça fait beaucoup et comme en plus, je vois que les notes d'Anto ne décollent pas, je pense que je vais arrêter là....