Little House on the Prairie
La Petite Maison dans la prairie
Au XIXe siècle, l'histoire d'une famille de fermiers venue s'installer à Plum Creek, dans le Minnesota, non loin du village de Walnut Grove. La série retrace la vie de Laura Ingalls, l'héroïne, depuis son arrivée dans le village jusqu'à sa vie de mère de famille et d'institutrice de Walnut Grove.
| Terminée | Américaine | 60 minutes |
| Drame, Children, Drama, Western | NBC, TF1 | 1974 |
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Avis sur l'épisode 1.01
deweyListe des épisodes
Episode spécial
La Genèse
Episode 1.01
L'installation
Episode 1.02
Les paysannes
Episode 1.03
Une longue marche
Episode 1.04
L'idylle de monsieur Edwards
Episode 1.05
Le grand amour de Johnny Johnson
Episode 1.06
La veillée funèbre
Episode 1.07
Réceptions
Episode 1.08
Les vacances de Caroline
Episode 1.09
L'institutrice
Episode 1.10
Le raton laveur
Episode 1.11
La cloche de Tinker Jones
Episode 1.12
La récompense
Episode 1.13
Le fils (1)
Episode 1.14
Le fils (2)
Episode 1.15
Noël à Plum Creek
Episode 1.16
Querelle de famille
Episode 1.17
L'idylle du docteur Baker
Episode 1.18
L'épidémie
Episode 1.19
L'homme du cirque
Episode 1.20
L'enfant malheureux
Episode 1.21
L'agronome
Episode 1.22
L'Indien
Episode 1.23
A la découverte du monde
Episode 1.24
La fête au village
Bah voilà, ça c'est une vraie série, pas comme cette daube satanique de Game of Thrones.
Une belle histoire au service de personnages attachants, récompensés et punis quand il se doit avec justesse, loin de véhiculer les préceptes immondes des "séries" d'aujourd'hui, vulgaires, moches et racoleuses.
Le tout sur une bande son mélodieuse qui nous emmène tout droit au Paradis. Le Bonheur à l'état brut ...
La série ayant en plus bénéficié d'une restauration resplendissante en qualité Blu Ray, la magnificence de ces paysages naturels (oui, car à l'époque où ils savaient encore faire des séries, il n'y avais pas besoin d'artifices ou de surnaturel à la Game of Daube)' qui ne lui a pas fait prendre une ride, on se demande bien pourquoi tant de gens se complaisent dans le vulgaire et le morbide de cette série nauséabonde qu'est Game of Thrones plutôt que de venir expérimenter ce bain de jouvence revigorant et béni des dieux.
A l'époque aussi le monde allait mal, mais on préférait regarder vers l'espoir et un avenir positif et meilleur au genre humain, plutôt que de se garganiser d'apocalypse, de dark, de méchanceté et de violence.
Dans la moyenne des séries de l'époque, mais assurément un chef d'oeuvre de poésie devant les daubes contemporaines, assurément !