Haha c'est vrai qu'il a des passages hardcore celui-là :)
Love, Death & Robots
Créatures terrifiantes, méchantes surprises et comédie noire convergent dans cette anthologie d’animation pour adulte présentée par Tim Miller et David Fincher. Une collection de courts métrages animés en tous genres: science fiction, fantasy, horreur et comédie.
En cours | Américaine, US | 13 minutes |
Animation, Fantasy, Horror, Science-Fiction, Action, Mini-Series, Science-Fiction & Fantastique | Netflix | 2019 |
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Avis sur l'épisode 1.11
Avis favorable | Déposé le 02 avril 2019 à 20:25 |
Sympa cet épisode, même si ce qui était géant dans gravity était l'ambiance sonore et là... bon c'est moins puissant. Par contre on gagne en cohérence et en réaliste. J'ai toutefois du détourner les yeux à plusieurs moments je dois dire. |
Avis favorable | Déposé le 26 mars 2019 à 09:55 |
J'étais assez circonspecte au début (trop semblable à gravity, et puis quelle idée de ne pas s'attacher ???), mais au final j'ai beaucoup aimé. Déjà, le graphisme hyperréaliste fonctionne extrêmement bien ici puisqu'il s'agit d'ancrer le court métrage dans de la hard science - j'aime beaucoup le fait que l'héroïne n'ait pas des traits de poupée et son visage est hyper expressif, c'est impressionnant ! Et la fan de science en moi ne peut qu'applaudir à ce correctif à Gravity, qui avait commis quelques grosses bourdes en terme de réalisme scientifique... Nous avons donc droit à la leçon 1 : Le principe d'inertie ;) |
Avis favorable | Déposé le 23 mars 2019 à 16:26 |
Une sorte de "Gravity" non dénuée de qualités, mais c'est quand même un peu du déjà vu et en beaucoup mieux. Pas mal. |
C'est à nouveau un épisode court basé principalement sur une seule idée, au centre de l'ironie du titre et de sa chute. Mais quelle idée !
L'épisode mêle efficacement scénar' et visuel, ce qui est parfois la faiblesse habituelle de la série. Ici le format colle à l'intrigue : le réalisme est légitime pour du pseudo-Gravity, et le mix avec 127 heures est effectivement plus dérangeant à regarder que tout le sang du reste de la série comme disent Altaïr et Manew.
Et puis, ce que j'aime beaucoup dans cet épisode, c'est qu'au-delà de la solution d'ironie morbide que l'héroïne trouve, on a tout un petit world-building cool sur l'exploitation de l'espace façon capitaliste, avec la mention de mecs en costard qui ne font rien, de sous-effectifs sur le terrain, des "heures supplémentaires" quand la fille est en danger de mort (encore un truc assez "marrant"). C'est con mais cette vision est à la fois une version désacralisée de la conquête de l'espace comme dans tous les films habituels (Interstellar et autres, que j'adore hein), et en plus loin des scénarios catastrophes à base d'impacts de météorites et autres comme dans Gravity.
Non, ici le danger vient d'un seul petit boulon, et de normes de sécurité clairement pas à jour (station en bordel, portes qui coincent, pas de filin de sécurité.). Cela me fait beaucoup penser à un épisode de Doctor Who où des employés travaillant dans une station spatiale devaient payer pour leur oxygène.
Bref, un très bon épisode qui raconte beaucoup en peu de temps.