Lupin the Third: The Woman Called Fujiko Mine
Lupin III : Une femme nommée Fujiko Mine
Manipulatrice et usurpatrice, Mine Fujiko n'hésite pas à user de ses charmes et à utiliser son corps pour voler les bien les plus précieux du monde. Elle finira par attirer l'attention du plus grand voleur au monde, Lupin III, petit fils d'Arsène Lupin, qui fera tout pour que la charmante jeune femme lui ...
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Terminée | Japonaise, JP | 23 minutes |
Adventure, Animation, Comedy, Action & Adventure, Comédie, Drame | Nippon TV | 2012 |
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Avis sur l'épisode 1.13
Liste des épisodes
Episode 1.01
Épisode 1
Episode 1.02
Épisode 2
Episode 1.03
Épisode 3
Episode 1.04
Épisode 4
Episode 1.05
Épisode 5
Episode 1.06
Épisode 6
Episode 1.07
Épisode 7
Episode 1.08
Épisode 8
Episode 1.09
Épisode 9
Episode 1.10
Épisode 10
Episode 1.11
Épisode 11
Episode 1.12
Épisode 12
Episode 1.13
Épisode 13
Episode spécial
Le tombeau de Daisuke Jigen part 1
Episode spécial
Le tombeau de Daisuke Jigen part 2
Episode spécial
La traînée de sang d'Ishikawa Goemon part 1
Episode spécial
La traînée de sang d'Ishikawa Goemon part 2
Episode spécial
Fujiko Mine's Lie, Part 2
Episode spécial
Fujiko Mine's Lie, Part 1
Excellent final qui prend le contrepied de l'intégralité de la série.
Effectivement, Lupin comme Mine Fujiko ne sont pas des personnages qui peuvent être définis par leur destin ou un trauma originel, et la série a su jouer avec cette idée en nous faisant craindre le pire via les flashbacks parsemés le long de la série. La révélation est très maligne, en plus de développer une fois encore des délices d'animation (toute la technologie rétrofuturiste <3).
The Woman Called Mine Fujiko est donc une très belle série anniversaire qui joue sur les clichés propres aux origin stories des grandes figures mythiques, quitte à souvent s'y casser les dents (Sherlock de Steven Moffat, Spectre pour James Bond...) Iic, tout est fait avec malice, rendant hommage aux valeurs éternelles qu'incarnent les créations de Monkey Punch. Le fait que la showrunneuse de l'animé soit une femme (Sayo Yamamoto) a dû jouer sur l'intelligence et le détournement malin des tropes traditionnels autour des femmes victimes incarnées par un trauma originel.