Derrière cet épisode un peu mineur qui me fait encore plus appréhender le passage à l'adolescence de mon fils, la série joue avec nous et notre connaissance de Fight Club. En effet, tout comme on peut voir en Arturo Castro est une copie plus pâle de Joseph Gordon-Lewitt, un peu plus fade, moins beau, mais avec un je ne sais quoi de commun dans le physique, Mr Morales est la version positive de Mr. Corman, moins dark et dépressive en tout cas. Le trouble est à son apogée dans la scène très cheloue où Victor semble surpris de trouver Josh dans leur appart, avec en fond sonore un bruit de gong qui me renvoie à l'expo sur les troubles mentaux que j'ai vu une fois à Lisbonne (il y avait un atelier qui mettait dans la tête d'un dépressif chronique et c'était rythmé par ce son de gong) et le chasse à l'arrivée de sa fille.

Honnêtement, je ne pense pas que l'option "Josh/Victor sont les mêmes facettes d'une même personnalité" soit retenue d'autant que des personnages évoquent Josh et sa fille le salue, mais jouer avec est assez jouissif.