Cool, le power up de Toga qui obient le pouvoir d’Ochaco et l’utilise à des fins malveillantes (ce qui est très facile et très gore — encore que c’est censuré), c’est plutôt original et un peu tout le but concrétisé du personnage (j’avais même oublié que son alter ne lui permettait pas de copier les alters).

C’est un peu le seul bon truc de cet épisode, le montage reste très mécanique et peu fluide. Toute la partie avec Toga Himiko est un bon climax et ils n’en font pas un climax : ils collent des petites séquences ensuite et finissent par un cliff super rushed où on présente même un vilain de l’Armée avec son quirk et tout, dans les 3 dernières minutes… n’importe quoi.

La journalise villain est complètement random et Toga se prend 1500 bombes sans crever (alors qu’ils veulent la tuer et sont 100 000 on le rappelle… ce qui ne se ressent vraiment pas). Les dialogues sont basiques et sans profondeur comme toujours avec Toga Himiko, même sa back story qui a tout de même un petit côté macabre (elle a développé vite une fascination pour le sang donc ça explique qu’elle soit une marginale), mais bon… c’est basique, pile ce qu’on pourrait écrire en roue libre.

Je déteste aussi que toutes les origin story arrivent maintenant. Sans déconner, Tomura dit des trucs comme “oh c’est comme un mini-boss” ou “oh un autre flashback ? bizarre”. C’est tellement forcé.

Idem, c’est Izuku qui narre le début de la backstory sur la Meta Liberation Army et même si tout l’anime est en gros narré par un Izuku du futur de ce que j’ai compris, ça ne rend pas le procédé moins fainéant.