Comme l'a dit arnoglas, il n'y a aucune différence avec le pilot : on se demande toujours comment Jennie Garth en est venu à jouer là-dedans ; Tori Spelling et le gay de service font toujours autant pitié ; les gags et les intrigues ont toujours 40 ans de retard (le running gag du prisonnier est priceless) et les scénaristes essaient toujours de rattraper cela comme ils peuvent avec des références aussi gratuites qu'aléatoires à la pop culture (ici : Bling Ring ; Ryan Gosling ; Ryan Reynolds ; Ryan Phillippe ; Mario Lopez ; Buffy contre les vampires ; Turner and Hooch ; Robert Pattinson ; Lance Bass ; Demi Lovato ; les Billboard awards ; Jennifer Lawrence ; les Medieval Times ; Pinocchio ; Ally McBeal ; Blue Ivy ; Beyoncé ; Wikipedia ; James Franco ; Sundance). Seulement, autant j'avais réussi à apprécier le premier épisode en le prenant au second degré (ou en étant dans un état second, je ne sais pas), autant j'ai eu un peu plus de mal à supporter ce second (oui) épisode (la lassitude sans doute).

Avis modéré par la rédaction de Série-All.