Parade's End
Les préoccupations d’un aristocrate anglais, à la fin de la 1ère Guerre mondiale, pris dans un complexe triangle amoureux entre sa belle et cruelle épouse et une jeune suffragette.
Terminée | Anglaise | 60 minutes |
Drame, Drama, Mini-Series | BBC Two | 2012 |
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Avis sur l'épisode 1.02
Avis favorable | Déposé le 01 septembre 2012 à 17:19 |
Après avoir beaucoup eu du mal à rentrer dans le premier épisode, j'avais souligné les qualités artistiques du show et la performance surprenante des comédiens. Des compliments que je ne peux que réitérer tant la série est visuellement une splendeur, avec en bonus un fils directeur plus facile à suivre. Les personnages sont bien campés, l'univers est intéressant et certaines scènes sont réellement émouvantes, en particulier quand l'intrigue crée un lien entre la femme de Tietjents et celle qu'il aime. Mais, si l'histoire avance, les relations entre le personnage principal et les autres sont trop immobiles, avec la sensation gênante d'un univers composé de petits tableaux qui manque d'une vraie connexion. Pourtant, la première partie m'a réellement enchanté, avec la vie de couple particulière de Christopher et sa femme. La scène où elle met un coussin sur ses genoux pour prier est réellement brillante. Le show est bon, mais sa progression est un peu trop facile, avec un univers qui n'évolue pas en trois ans, surtout Miss Wannop qui apparaît trop naïve pour ne pas être agaçante. En bref, c'est beau, soigné, élégant, Benedict Cumberbacht est remarquable, mais il manque quelque chose, un lien entre les personnages... |
Bon ben je comprend rien à la moitié des ressorts dramatiques, mais la série me fascine complètement. D'habitude je ne suis pas fan des séries en costumes mais là je suis sous le charme.
L'esthétique est très réussie, les acteurs sont impeccables, et on a droit a des moments dramatiques un peu plus forts, notamment la toute fin de l'épisode que j'ai trouvé magnifique.
Sinon, étrangement je ne me souviens même pas avoir vu un coussin pendant l'épisode, bizarre bizarre...
P.S. : ça fait bizarre de voir Stephen Graham en petit bourgeois un peu fauché juste après Al Capone !