Depuis le pilote stratosphérique, les épisodes suivants souffrent un peu de la comparaison et il se passe parfois de longues .... secondes sans l'ombre d'un gag. Pourtant je cherche, je guette, en arrière-plan, mais non, il n'y a rien. Cela a pour effet de casser un peu le rythme de l'épisode. 

Mais heureusement, tout est pardonné, car celui-ci contient son lot de gags énormes (bon, celui du jardin japonais pique un peu), dont certains seront repris dans le premier film, tandis que Leslie Nielsen continue de peaufiner sa tête de gaffeur ahuri. Je suis vraiment admiratif des ZAZ, prenons comme exemple le gag de la voiture avec les mains de Frank sur le volant et le jeu de la perspective, il a fallu imaginer le gag, le mettre en pratique en construisant un décor puis répéter la scène encore et encore, le tout pour un gag qui dure le temps d'un clignement d'œil. 

C'est grand, c'est beau, c'est du génie.

Cet épisode m'a autant fait rire que le premier, du coup, même note ! ça me paraît normal. Très très très drôle, même si des vannes à répétitions... Dont une (Johnny) que j'adore !

Le zèbre, le mime, l'horloge... sincèrement, c'est dément !