Enfin un développement, qui laisse toujours le loup de côté pour mieux se concentrer sur l'héroïne et ses motivations. Passons sur le côté superficiel du script qui pose sans exposer, mais pose la question du format et de la place laissée à l'intrigue.

L'usage de la voix off (un tic que personnellement je déteste, mais ce n'est pas le sujet) n'st pas idiot au vu du média qui sert à véhiculer ce type d'oeuvre.

On peut clairement se poser des questions sur le manque de développements de personnages à usage unique, des redskirts dont le but serait d'amener les informations nécessaires à l'intrigues.

Plus je regarde cet oeuvre, plus je pense à John Carpenter New York 1997 où Snake avance dans une ville inconnue par le biais de personnages intégrés au récit dans le seul but de le faire avancer.

Dommage que les créateurs ne s'en soit pas plus inspirées, centrant leur histoire sur une héroïne un peu trop omnisciente.