Même avec zéro attente, ça reste très compliqué.

Tout est écrit de manière la plus débile possible, ce qui donne des combos intéressants : Les réfugiés sont en réalité des méchants + les illuminati sont réels (mon Dieu, cette scène dans le pub) + La gestion de la Russie dans un contexte de Guerre en Ukraine... Hé ben...

Derrière les décombres de cette débilité reste tout de même des bonnes choses  : James Rodhes qui renvoit Nick (ce qui sera probablement cassé s'il s'avère que War Machine est un Skrull) et cette dernière scène sur la femme (!) de Nick Fury avec "Try a Little Tenderness" chanté par Otis Redding en fond. Et moi, ben, j'aime beaucoup Otis et les paroles collent bien à la scène et aux deux personnages (même si ça reste ultra-patriarcal).