Contente de la reprise de la série, même si j'ai toujours du mal avec le personnage de Jimmy. Heureusement que les autres sont là.

Le monde de Shriking est comme celui de Ted Lasso : un monde protégé, très loin de toutes les calamités du monde, où des gens aisés tentent de se reconstruire. Ça pourrait très bien être une série complètement déconnectée (c'est l'écueil de la majorité des shows de Bill Lawrence), mais le propos touche, malgré tout, à l'universel. Parce que au bout du compte, c'est réellement l'humanité de la série qui ressort pleinement. Il faut tout de même passer le cap de regarder ces personnages plus californiens que la Californie, parfois très agaçants et presque irréels, tant ils semblent tous vivre dans un dessin animé.