The Affair
Un beau jour, au début de l'été, Noah, un homme marié et père dévoué de quatre enfants, fait la rencontre d'Alison, une femme mariée elle aussi, qui pleure la mort récente de son enfant. Dès le premier regard échangé, le coup de coeur est instantané et partagé. Commence alors une relation adultérine qui ...
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| Terminée | Américaine | 60 minutes |
| Drame, Drama, Suspense | Showtime | 2014 |
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Avis sur l'épisode 1.08
Galax
nicknackpadiwak| Avis favorable | Déposé le 11 décembre 2014 à 10:42 |
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C'est dingue ça, quand même. On a à deux épisodes de la fin et on n'est pas plus avancé niveau intrigue, au contraire même, on est encore plus perdu. J'ai perso, beaucoup de mal, à faire le lien entre Noah, Alison et le personnage qui va mourir. Et l'histoire avec l’hôtel, The End, c'est quoi le plan? Bref, cette série est vraiment particulière. |
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Alors ça j'ai jamais vu. 2 épisodes de la fin et il ne s'est strictement RIEN passé.
Mais vraiment quedal.
Dans la partie Noah, Whitney est encore plus une fille à problèmes, Martin est encore plus un fils à problèmes et le couple va mieux, mais en fait non il a des problèmes.
Dans la partie Alison, c'est mieux, sa grand-mère nous quitte et Noah et Alison se disent "je t'aime" mais ne se disent rien ensuite.
Ah et le policier demande le nom de Noah dans le registre d'un hôtel, l'employée ne trouve rien. Mais à la fin de l'épisode il revient et lui demande de revérifier, et oui elle trouve un nom, il la remercie et s'en va.
Voilà.
Du jamais-vu je crois, en effet.
Il faut quand même souligner les dialogues plus faux que natures. C'est-à-dire que quand un personnage fait une remarque à un autre personnage, la réponse de l'autre personnage ressemble à ça : "Vois-tu, quand j'étais petit, j'ai eu un truc de ouf qui m'ait arrivé, laisse-moi te le raconter dans un monologue ou tu ne vois aucunement le rapport avec la question que tu viens de me poser mais t'inquiètes pas il y a un lien que tu verras dans 5 minutes et qui te montrera la brillance de la métaphore que le scénariste a élaborée"
Bref...