Que c'était long, décidemment Palmer et son personnage Freya n'en finissent plus de m'insupporter. Des gestes d'une lenteur abominable, un visage stupéfait, yeux baignés de larmes, aucune phrase suscinte qui pourrait pourtant faire gagner du temps, bref : ma patience a été mise à rude épreuve. Si les choses s'arrangent, il n'y a pas de réelle puissance narrative, et j'ai envie de dire que seul Henrik a le privilège d'avoir un début, un milieu et une fin. Pour le reste, ça manque de clareté, d'enthousiasme, de créativité. L'histoire se termine, mais que c'était dur !