The Marvelous Mrs. Maisel
La Fabuleuse Mme Maisel
Dans le New York de 1958, Miriam “Midge” Maisel a tout ce dont elle peut rêver : un mari parfait, 2 enfants et un appartement élégant dans l'Upper West Side. Mais sa petite vie parfaite prend un virage inattendu lorsqu'elle se découvre un talent pour le stand-up.
Terminée | Américaine, US | Pas de durée |
Comédie dramatique, Historique, Comedy, Drama, Comédie, Drame | Amazon | 2017 |
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Avis sur l'épisode 2.04
Avis favorable | Déposé le 17 décembre 2018 à 10:06 |
Moooon dieu que ce camp de vacances est flippant ! J'avoue que du ocup j'ai peu ri, j'ai plutôt frémis d'horreur (même si ça me rappelle dirty dancing ;) ) Un épisode qui met les hommes à l'honneur. Joel, tout d'abord, touchant dans sa position d'homme qui a le cul entre deux chaises et qui ne sait plus trop quel rôle jouer dans la famille de Midge - et le nouveau personnage, Benjamin, qui apporte un certain vent de fraicheur à la série. Par contre Midge et son père font du sur-place (et les histoire de concours de miss me crispent, j'y peux rien c'est comme ça), et la mère de Midge régresse. C'est un peu frustrant. |
Avis favorable | Déposé le 07 décembre 2018 à 14:33 |
Zac Levi <3 <3 On voit que tu as tourné pour DC ! Qu'est-ce que j'étais heureux e le savoir dans cette deuxième saison ! Il y a des news de casting qui me remplissent de joie, et celle-ci a fait encore davantage !IL est tout de suite à l'aise dans son rôle, et son alchimie avec Midge brille déjà. De plus, sa discussion de fin avec Joel est très belle et nous en dit beaucoup plus sur le personnage que tout ce que l'on a pu entendre sur lui par la bouche de sa mère. Cela fait beaucoup de bien à la série de changer de scène, parce que cela permet à la réal de s'amuser. Mais aussi parce que pour le moment, il y a un réel statu quo dans la saison et cela ne fait qu'augmenter épisode après épisode. Midge doit faire du stand-up, et la caractérisation de son personnage peut parfois être frustrante ! |
Le club med de l'angoisse. Superbe épisode qui attaque frontalement le comportement suiviste et ultra corcetté de cette frande de la riche population new-yorkaise, condammé indéfiniement à reproduire les mêmes comportements années après années. Tout le camp prend des aspect Orwelliens assez vertigineux et à chaque fois, ça se joue sur des micro-détails.