La douche froide.

Après un bon épisode, The Strain retombe dans ses travers, c'est à dire les réactions à la con des perso.

Est ce logique, quand on est dératiseur et qu'on vient de constater que les égouts sont emplis de monstre, d'aller tranquillement dans un bar, lire un livre?

Est ce professionnel, lorsqu'on est un truand, de vouloir à tout prix connaitre l'identité d'un mort et ouvrir le body bag, alors que 5 minutes avant, on vient de s'apercevoir que notre boss n'est pas vraiment un humain?

Pourquoi lorsqu'on est des vampires sortir lors d'une éclipse de 5 minutes, alors qu'il suffit d'attendre la nuit?

De plus, la série utilise le pire cliché véhiculé par le genre (The Walking Dead le fait aussi) : la durée variable de transformation de l'humain en monstre, selon le besoin du scénariste, allant de 3 épisodes pour certains à 2 minutes pour d'autres.

En fait, le gros défaut de The Strain est son manque d'ambition : les auteurs ne sont clairement pas là pour créer du neuf.