Tyler Perry's The Haves and the Have Nots
The Haves and the Have Nots
La série suit les relations compliquées entre la riche et puissante famille Cryer et son personnel de maison.
| Terminée | Américaine | 45 minutes |
| Soap, Drama | OWN, Oprah Winfrey Network | 2013 |
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Avis sur l'épisode 1.09
damoclesListe des épisodes
Episode 1.01
The Big Surprise
Episode 1.02
Playing In The Deep End
Episode 1.03
Beautifully Dysfunctional
Episode 1.04
Entering The Race
Episode 1.05
A Woman's Pride
Episode 1.06
Angry Sex
Episode 1.07
A True Friend
Episode 1.08
The Criminal
Episode 1.09
The Set Up
Episode 1.10
Number Nine
Episode 1.11
Not My Daughter
Episode 1.12
In Recovery
Episode 1.13
What Are You Doing Here?
Episode 1.14
My Name Is Veronica
Episode 1.15
The Truth Will Set You Free
Episode 1.16
No More Hiding
Episode 1.17
The Black Sedan
Episode 1.18
Wyatt's Nightmare
Episode 1.19
Family Issues
Episode 1.20
Unanswered Calls
Episode 1.21
Why Didn't You Tell Me?
Episode 1.22
Protecting Wyatt
Episode 1.23
Amanda's Revenge
Episode 1.24
Maggie's Plan
Episode 1.25
March For Justice
Episode 1.26
Starting the Race
Episode 1.27
You'll Be Sorry
Episode 1.28
The Confession
Episode 1.29
Donald
Episode 1.30
The Awakening
Episode 1.31
The Vulnerable
Episode 1.32
The Sarandon Hotel
Episode 1.33
Again and Again
Episode 1.34
Something's Wrong with Amanda
Episode 1.35
Norman Hewens
Episode 1.36
Checkmate
La série suit son cours et s'en sort bien, en particulier grâce à une scène mère - fille très touchante entre la salope et sa maman. L'histoire de chantage s'achève pour lancer quelques pistes sur le passé de Candice qui s'avère pour le moins intéressante.
Surtout qu'après neuf épisodes, TP a enfin trouvé le bouton pour faire tourner la caméra... il était temps. Cela reste très rigide, brisant tout le potentiel d'un scénario bien écrit, sauf quand il se met sérieusement à patiner dans la semoule.
La séquence où le juge apprend pour la mère de la salope est ridicule, très mal pensé et horriblement lente. Le juge devient alors un personnage comique, comme le comte Almaviva du mariage de Figaro...
Et ce choix de le ridiculiser apparait alors comme une voie très intéressante, apportant la légèreté qui manquait à la série. Sans rêver à du Beaumarchais, il serait bien que TP se rit un peu plus d'une classe bourgeoise ridicule et du coup, tellement plus attachante.
Bref, ce n'est pas bon, mais c'est très loin d'être mauvais.