American Horror Story
À chaque saison, son histoire. American Horror Story nous embarque dans des récits à la fois poignants et cauchemardesques, mêlant la peur, le gore et le politiquement correct. De quoi vous confronter à vos plus grandes frayeurs !
| En cours | Américaine, US | Pas de durée |
| Drame, Epouvante-Horreur, Drama, Horror, Thriller, Mystere, Science-Fiction & Fantastique | FX, Ciné+ Frisson | 2011 |
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8.02 -
Le Jour D'après
The Morning After
Michael Langdon se présente aux rescapés réfugiés dans le bunker Outpost 3 et leur explique sa sinistre mission. Pour lui prouver qu'il est prêt à coopérer avec lui, monsieur Gallant accepte de répondre à des questions très intimes. Mais Langdon ne se contente pas de l'interroger sur sa sexualité...
Diffusion originale : 19 septembre 2018
Diffusion française :
19 septembre 2018
Réalisat.eur.rice.s :
Jennifer Lynch
,
Jennifer Chambers Lynch
Scénariste.s :
James Wong
Guest.s :
Joan Collins
,
Erika Ervin
,
Kyle Allen
,
Ash Santos
,
Jeffrey Bowyer-Chapman
,
Navaris Darson
,
Chris Ferro
,
Riley Schmidt
,
Jason Michael Snow
,
Ashley Santos
,
Jeanelle Marie Cruz
Galax
C'est toujours barré comme jamais.
Revoir le Rubber Man de la première saison nous donne un premier aperçu de ce que le crossover pourra donner et honnêtement c'est très fun. J'aime beaucoup leur approche de raconter une nouvelle histoire avec beaucoup de nouveaux personnages pour probablement changer complètement de tournure en milieu de saison jusqu'au crossover final. C'est la méthode employée par la saison 6 qui avait certes du coup un début de saison assez mou mais qui avait finalement marché à fond.
Par contre... c'est malheureusement un poil ennuyant. Le fait est que jamais AHS n'a été coincée dans une unité de lieu. Ça n'est jamais arrivé je crois sur aucun épisode, pas même les plus mous de l'asile ou de l'hôtel : tu avais TOUJOURS des flashbacks, un montage sur d'autres intrigues, etc.
C'est à double-tranchant. D'un côté, cela renforce totalement cette impression de "derniers survivants de l'humanité" : la réalisation nous étouffe tellement dans ces pièces et nous endort presque avec ses travelings lents, ses musiques répétitives ou absentes, la tension dans l'air, etc., qu'on y croit vraiment, à ce bunker au milieu d'une planète déserte, sans jamais voir vraiment l'extérieur.
D'un autre côté, l'épisode est un peu chiant. Ça décolle parfois avec quelques aspects (le Rubber-man, le cliff de fin sur Kathy Bates), mais globalement heureusement que Coco est là pour faire quelques vannes histoire de nous détendre.
Les deux jeunes élus sont particulièrement insipides, même si c'est tout le but de leur présence, je crois.
Il est assez surprenant qu'on ait eu vraiment aucun flashback, aucune backstory, aucun nouveau personnage par rapport au pilote : c'est très inhabituel pour du AHS et cela promet une saison encore plus inhabituelle, qui saura je l'espère, récompenser notre investissement après cet épisode assez calme.