Californication
Hank Moody est romancier et séparé de la mère de sa fille de 13 ans. Il est aussi accro aux femmes et aux drogues et ne peut s'empêcher de dire la vérité, tout le temps et à tout le monde. Oui, Hank est auto-destructeur...
Terminée | Américaine | 30 minutes |
Comédie, Comedy, Drama | Showtime, M6 | 2007 |
1 avis favorable
1 avis neutre
0 avis défavorable
7.05 - Toute première fois
Getting the Poison Out
Rick Rath, le producteur de la série « Le flic de Santa Monica », invite Julia à dîner. Pendant ce temps, Hank décide de s'occuper de l'éducation sexuelle de Levon, son fils, totalement obsédé par les femmes. Le jeune homme est mal dans sa peau et frustré par son manque d'expérience. Sur les conseils de Marcy, Hank fait appel à Nikki, une séduisante prostituée qui va jouer les initiatrices. Goldie, la nouvelle cliente de Charlie, se révèle ingérable…
Diffusion originale : 11 mai 2014
Diffusion française :
11 mai 2014
Réalisat.eur.rice.s :
Seith Mann
Scénariste.s :
Tom Kapinos
Guest.s :
Brigette Davidovici
,
Jon Kasdan
Tous les avis
Avis défavorable | Déposé le 17 novembre 2014 à 15:05 |
Allez, l'épisode est un poil mieux que le précédent, mais ma note reste identique car l'ensemble continue d'être médiocre. J'essaie juste d'imaginer la réunion de scénaristes : "Hey ! On dit que le père paie une pute de luxe à son fils !", et je me dis qu'ils ne doivent pas tourner qu'à l'eau plate. Finalement, Karen est peut-être la seule saine d'esprit dans tout ce bordel. Rumple et Goldie, c'est du grand n'importe quoi. On attend des sommets de nullité. Je me répète mais... Vite, la fin ! |
Avis défavorable | Déposé le 13 mai 2014 à 16:58 |
Cette série est devenue la caricature de la caricature de la caricature d'elle même... On va terminer la saison puisque c'est la dernière...et heureusement. |
Je mets un avis neutre pour la présence de Marcy et Karen, seul personnage normal dans cette série qui n'est plus du tout réaliste et à la morale douteuse, qui plus est. Vite qu'on en finisse, parce que ça en devient ridicule. Ne parlons pas de Charlie, qui sert de plus en plus de bouche-trou.