Deuxième partie du final moins bien que la première notamment à cause des adieux avec Rose que j'ai trouver trop nianian et trop ressemblant à celui de la saison 2... Le fait que le Dalek Caan est trahit les autres Daleks me déplait fortement, il était mieux en méchant et il faisait peur, et là ce qu'il à fait c'était nul. Le reste était quand meme super bon, la team au complet et une fin à couper le souffle! Donna va nous manquer et laisser un vide à la série, la manière dont elle est partie est vraiment cruelle, comme avec Rose dans la saison 2... Bon final et mention spéciale aux trois seigneurs du temps en un seul épisode!

Même avis que le précédent, certains moments sonnent trop faux comme lorsque tout le monde répond présent.

Un bon épisode,

Une fin émouvante. En plus Donna était ma voyageuse préféré !

J'ai bien aimé ce Docteur Bis

Nan mais naaaan! Qu'a-t-on fait à ma merveilleuse Donna? Son départ est si déchirant...

J'ai aimé retrouver Rose qui aura plus de chance que Donna.

Une vraie fin de saison, voir de série avec ce rassemblement de tous les compagnons.

Les Dalex m'amusent aussi, ces boites de conserve sont increvables et vu le temps en pelotte de la série, leur retour ne m'a pas choqué.

Je passe facilement sur les défauts des épisodes vu le pied que je prends à les regarder...

C'est probablement un des épisodes les plus difficiles à analyser de toute la série en ce qui me concerne. Il est ouf, mais aussi un peu naze, mais quand même parfois excellent, et parfois risible, mais bien kiffant... Bref, un épisode qui dégage beaucoup de choses très contradictoires, mais surtout, surtout, totalement basé sur l'émotion et les personnages. Et c'est finalement quelque chose qui ne fait que se ressentir.

C'est en fait le plus gros crossover jamais tenté et abouti par la série, et c'est une véritable joie que de voir cette convergence ultime. Après il faut avouer que les facilités sont présentes et peuvent gâcher certaines choses de l'épisode.

Le cliff dantesque se résout de manière forcément moins épique, mais il est vrai que l'intervention de la main du Docteur, qui a servi un peu partout dans le run de Ten, était ingénieuse. La suite utilise l'idée d'un clone humain/time-lord du Docteur, un concept assez perturbant... mais n'est-ce pas déjà ce qu'on avait vu avec, en quelque sorte, Jenny ? Tout est peut-être facile sur le papier, mais paraît si fluide et naturel, car en harmonie avec la continuité de toute la série.

Idem, le nombre maous de facilités dans le scénar' peut faire peur... le deus-ex-machina final, l'hybride qui a accès à des commandes magiques... C'est déjà pas terrible dans le concept mais aussi balancé avec des phrases pseudo-scientifiques à mille à l'heure par Donna. Les Daleks sont tournés en ridicule et en littéralement 2 minutes, ils passent de maître de la réalité à objet d'humour qu'on pousse comme de vulgaires chaises roulantes.

Ce genre de facilités, c'est probablement ça qui a rendu mon avis si fluctuant sur l'épisode, et pourquoi il s'agit d'un des plus difficiles à noter. Car les facilités, on ne s'en rend pas vraiment compte la première fois avec mes yeux de fans naïfs, trop subjugué par la quantité de fanservice. On ne voit plus que ça la deuxième fois, parce qu'on connaît l'histoire et qu'on scrute un peu plus le scénario et les dialogues de l'épisode, dans l'espoir de trouver quelque chose de plus profond. On tombe juste sur des facilités monstres et soudain on "déteste" (le mot est fort, on ne peut pas haïr quelque chose de si fanservice) l'épisode. Enfin, quand l'eau a coulé sous les ponts et qu'on le revoit une troisième fois (voire beaucoup plus pour ma part), on trouve un juste milieu, guilty-pleasure jouissif... et on se dit que finalement, l'important, c'est la beauté du voyage.

Le fanservice est carrément le vrai plaisir de l'épisode. Mais dans un monde où tout le monde ne jure que par le fanservice vain, ou hurle dès que le fanservice est trop mal fait, je trouve ici un épisode qui assume totalement ses racines et exploite à merveille l'univers de la série. La réunion de compagnons était déjà dingue dans The Stolen Earth, et ils en rajoutent une couche dans cette partie. Si dans la première partie, Sarah Jane, Jack et Rose étaient très présents, c'est ici (en plus de Donna bien sûr), plus Martha qui tire son épingle du jeu. Elle bénéficie d'une intrigue rien qu'à elle et de super scènes autour de la clé Osterhagen, un concept fascinant et à nouveau parfait dans le lore millitaire de la série. C'est une bonne mimique de sa superbe quête de fin de saison 3.

Et puis, les autres compagnons ne sont pas en reste. Certes, Jackie et Mickey reviennent surtout pour le plaisir, mais qui dirait non à plus de Jackie enfin ?? Sarah Jane a droit également à un moment incroyable avec Davros, qui revient sur l'épisode classique Genesis of the Daleks. Il faut savoir que c'est un épisode de 1975 qui a fait apparaître pour la première fois Davros et a en grande partie contribuer à propulser le lore des Daleks au rang de rivaux des Seigneurs du Temps à jamais. Sarah Jane était la compagne et a assisté à ce moment d'anthologie. Avoir une scène 30 ans après sur leurs retrouvailles, avec Davros qui reconnaît Sarah Jane, permet aussi de restituer à quel point la série a une histoire riche et aussi, à quel point Davros est un antagoniste incroyable, et Sarah Jane une compagne fondamentale.

Je suis aussi absolument fan de l'explication de la convergence des personnages dans l'histoire. Le fanservice n'est pas que coïncidental. Donna apparaît réellement comme la femme la plus spéciale de l'Univers comme Rose l'avait appelé dans Turn Left, par exemple. Et quel beau message de voir que les compagnons sont tous tellement émancipés que ce sont eux qui font tout dans l'épisode ? (même si cela peut aussi être vu par un autre angle, cf. la suite avec le point de vue de Davros.)

En bref, c'est la réunion des "Children of Time" comme le dit Dalek Caan, et quelle belle façon de centrer tout autour d'un climax épique. Et une autre "prophétie" de Caan est celle de la mort d'un des compagnon. C'est assez grossier de nous tromper comme ça puisque non, techniquement, aucun compagnon ne "meurt" réellement dans l'épisode... mais en même temps, le twist imprévu et très intéressant sur Dalek Caan lui-même, justifie ce "mensonge" et ce rebondissement fonctionne très bien dans le récit, permettant de nuancer la race des Daleks, ce qui est un certain aboutissement de ce que le double-épisode en saison 3 avait lancé.

Je dois aussi avouer que j'aime beaucoup le concept de la reality bomb, qui annule l'énergie électrique reliant chaque atome par l'alignement de la force planétaire. C'est franchement flippant et assez génial, digne de ce que pourrait imaginer Davros, ce qui élève quand même le scénario du jour en termes d'idées créatives. Davros est vraiment bon dans l'histoire, Julian Bleach incarne bien le personnage et comme on pouvait s'y attendre, il y a de vraies conversations entre le Docteur et lui par la suite, qui révèlent toute la morale et le fond de l'histoire. Davros souhaite en effet montrer au Docteur sa véritable nature : l'homme qui ne porte jamais d'armes transforme les personnes autour de lui en ses soldats. C'est parfois inégalement représenté (Martha s'y intègre certes parfaitement, mais le diamant de Sarah Jane sort un peu de nulle part), mais cela offre une très belle réflexion sur la posture du Docteur, en particulier tout au long de l'ère de David Tennant. C'est un très beau contrepoids à Turn Left, où Rose décrivait au contraire le Docteur comme l'homme qui "transforme tout le monde qu'il cotoie en personne meilleure". Les deux versions se discutent.

DAVROS: How many have died in your name ?

Les flashbacks à toutes les victimes qui sont mortes à cause de lui font vraiment leur effet, on ressent ainsi à nouveau la véritable célébration de toute la série, et la récompense absolue pour quiconque l'aurait suivie.

Tennant est merveilleux dans la scène, la musique est top et en plus cela dresse un lien très efficace à toute l'évolution de Ten depuis au moins la fin de saison 3. Tous les rappels à son aversion pour les armes dans la saison, qui étaient parfois à la limite de l'exagéré (cf. le double sontarien ou The Doctor's Daughter), trouvent ici au moins une justification, ce qui est super satisfaisant. Cela aurait pu être exploité plus longtemps, peut-être, mais les inactions du Docteur, et l'acte final commis par "l'autre" Docteur, sont une conclusion parfaite à cette thématique, traduisant l'évolution de Ten vers quelqu'un de bienveillant, mais aussi de beaucoup plus égocentrique et confiant qu'il est un messi, voire parfois hypocrite dans sa démarche d'avoir une aversion pour les armes tout en étant très violent dès qu'il décide qu'il est temps. La façon dont il exècre le clone pour son "génocide de Daleks" est notamment très discutable, sachant qu'il vient malgré cela de sauver l'univers.

Ce n'est peut-être pas forcément donner tort à Davros, qui considère le Docteur comme le véritable destructeur de tous les mondes, une rumeur qui donne parfois au Docteur ce prénom... En réalité, Davros aurait mérité d'être encore plus présent, bien qu'il n'est jamais trop tard pour le faire revenir.

L'épisode a finalement le mérite de souligner certains des défauts de Ten - pour le moment sans trop les condamner, car l'épisode reste totalement feel good et place le Docteur en père spirituel d'une famille immense, comme le rappelle Sarah Jane. Mais cela dit, cet épisode fait aussi entrer Ten dans sa dernière phase d'évolution en tant que Docteur, phase qu'il vivra dans les spéciaux qui suivront, dans lequel il voyagera majoritairement seul.

DAVROS: I made the Daleks. You made this.

L'épisode en général fait un super boulot à démêler tout le fil rouge de la saison comme l'avait fait The Stolen Earth. Le rappel au Docteur et ses actions est un élément très bien géré donc, mais il y a aussi le fait que Donna et le Docteur se rencontrent depuis le début toujours par hasard. L'explication est au début un peu pourrie "les lignes temporelles sont un peu emmêlées" mais quand on révèle qu'il s'agissait de Dalek Caan qui a traversé la Guerre du Temps et qui a manipulé les lignes temporelles spécifiquement dans ce but, c'est assez génial ! Certaines choses comme le DocteurDonna des Oods relèvent du détail (honnêtement, plus de l'improvisation scénaristique je pense), mais j'apprécie vraiment à quel point cette saison 4 fait des liens constamment entre tous les épisodes. Russel T. Davies est un showrunner qui aime reprendre des détails d'épisodes dispersés partout et crééer une thématique cohérente à travers ses personnages, et ici cela paie plus que jamais.

Maintenant voilà, après l'exposition des dilemmes moraux intéressants, l'épisode coupe court au débat et ramène le fanservice et l'action dans l'équation, ce qui est moins réussi à ce moment-là. J'ai déjà parlé du panneau de contrôle magique en plein milieu de la salle que Donna utilise pour littéralement tout inverser... L'épisode en fait trop, il explique certes comment Donna peut faire tout ça mais entre simplement montrer qu'elle reprend le contrôle, et faire carrément tourner les Daleks qui hurlent "Help me !" en les réduisant juste à des éléments de background comiques, il y a une différence ! Et malheureusement c'est quand même un léger moment de honte devant mon écran, probablement la pire scène de l'épisode... C'est une semi-bonne idée de mettre les Daleks au second plan, car c'est à double-tranchant : d'un côté un évite l'overdose et les scénarios centrés sur "défaire un gros machin anti-Dalek", "éviter miraculeusement des tirs" et autres, pour se concentrer sur un aspect psychologie beaucoup plus intéressant avec Davros. Mais d'un autre côté, en ne montrant les Daleks que lorsqu'ils perdent, forcément ça fait un peu tâche. Ils sont presque secondaires dans l'histoire, ce qui en soi n'est pas un mal (cf la fin de saison 2 où ils l'étaient aussi) mais ce qui trahit un peu ce que l'épisode précédent annonçait, avec leur plan super épique.

La Terre qui se fait tractée, c'est encore un autre moment potentiellement too much. Mais dans la mesure où c'est juste totalement gratuit pour montrer un pilotage du TARDIS par tous les compagnons, c'est assumé selon moi (il y a même un moment où Martha regarde la caméra et brise le quatrième mur car elle est juste trop contente de faire ça). C'est assez génial, vraiment plaisant à voir. Bon, le fait qu'il y ait des maisons qui se secouent et les humains qui se planquent sous les tables en hurlant de joie, c'est peut-être pas nécessaire. J'avais évoqué dans mon avis sur le two-parter sontarian que le fossé entre la population de la Terre dans la série et la Terre dans la réalité s'agrandit d'épisodes en épisodes, ce qui casse complètement tout le réalisme de la chose et la crédibilité des attaques aliens... et là on atteint peut-être des sommets ! Mais après, l'épisode semble tellement sûr de lui qu'il se permet ce genre de choses, et je crois qu'en vrai, on s'en fout et on roule.

Après 50 minutes de joie extrême de fanservice, de dialogues intéressants qui explorent le Docteur, bref, de bons trucs, le tout entrecoupé par, allez, une ou deux scènes un peu nazes sur le coup, l'épisode touche à sa fin... à part un épilogue géant bourré d'émotions comme on les aime. Le temps supplémentaire accordé à ce finale permet de faire des au-revoir à tous les compagnons, ce qui était vraiment satisfaisant. Cela a notamment permis à Mickey d'avoir probablement l'une de ses meilleures scènes et un vrai échange avec le Docteur, quoique bref.

Le plus gros boulot de cette fin, c'est faire repartir Rose ! Inutile de dire que ce second départ n'atteint même pas le millionième de la puissance de la scène de Doomsday, malgré la réutilisation du contexte de la plage. Mais il n'aurait jamais pu l'égaler, et ne cherche pas à faire la même chose, puisqu'au contraire d'une fin complètement tragique, frustrante et sans ambiguité, on a ici quelque chose de définitif, de complet, mais avec un aspect doux-amer ambigu, puisque malgré la happy-end, il y a une certaine part de "mais ça ne va pas tout à fait", comme le souligne Rose. C'est super qu'elle obtienne en fait ce qu'elle a toujours rêvé d'avoir, car franchement, après tout ce qu'elle et le spectateur ont traversé, elle le mérite, va ! Même si ça signifie avoir un clone sur pattes à disposition. Et puis, l'idée qu'ils vieilliront ensemble est superbe. Ce Docteur humain n'a pas tant de temps d'écran que ça, mais la comparaison lui qui a commis un génocide Dalek, et le "vrai" Docteur (incarné par Eccleston) avant la rencontre avec Rose (qui sortait de la Guerre du Temps) est parfaite et permet à Rose de boucler la boucle.

Bien plus qu'un simple "lot de consolation", on a donc un vrai sens à cette fin. Et d'ailleurs, si Rose, accepte, c'est bien... par amour. Tout le crédo de son intrigue est finalement que 1) l'amour reste plus fort que tout (c'est un peu neuneu mais c'est fait avec tant de sincérité !) et 2) l'important c'est de voyager ensemble. D'ailleur, il existe une scène coupée où Ten et Donna donnent à Rose une copie de la matrice du TARDIS afin qu'ils aient leurs propres aventures en crééant un nouveau TARDIS, et je vais considérer cette scène comme canon car elle complète bien le tableau qu'on peut se faire de leur nouvelle vie ensemble. En plus dedans Donna dit qu'il faut au Docteur un égal, ce qui est une superbe scène pour son personnage et ce qui annonce la suite...

A propos de Donna, dernier acte de l'épisode, ses adieux.

Là, on tient peut-être quelque chose d'aussi fort que Doomsday.

Pas dans la réalisation et le symbole culte de la plage. Mais dans l'écriture, c'est tout aussi poignant. A nouveau quand il s'agit de traiter honorablement ses personnages, Journey's End ne fait aucune fausse note. C'est tragique (sans doute la fin la plus triste de toutes les compagnes maintenant que Rose a une happy-ending) et déchirant. La dernière scène où elle ne reconnait pas le Docteur est un crève-coeur et les adieux avec Wilfried sont fantastiques et émouvants.

Méditons un instant. Donna, la compagne avec probablement le moins de confiance en elle de toutes, qui réalise enfin qu'elle est si spéciale, qui a vécu les meilleures aventures de la Terre... qui ne s'en rappelera jamais. Que c'est horrible, vraiment... c'est encore plus pervers qu'une "simple" séparation comme l'avaient vécu Ten et Rose, c'est triste sous une approche complètement différente. Et quelle façon sombre de conclure un épisode pareil !

Alors, Journey's End, que dire, que dire ? Certaines parties, peu nombreuses certes, sont à la limite d'être désolantes. Mais d'autres sont de si formidables idées, et le sentiment général d'aventure épique reste tellement présent, qu'on ne peut même pas repenser à l'épisode sans avoir mille choses à aimer. Il s'agit sans doute du season-finale le plus contrasté de tous à ce stade, atteignant parfois les sommets, et dans le long terme c'est finalement une des choses que je recherche le plus dans Doctor Who : la satisfaction de voir un univers converger dans une explosion d'histoires et d'émotions. Et sur ce point, on a été plus que servi, autant dans cette sublime saison que dans cet excellent final.

Très bonne 2ème partie par rapport à la première !

C'était vraiment bien de voir tout les alliés du docteur réunis.

Le départ de Donna m'a moins touché que celui de Rose (celui saison 2).

J'ai aussi bien aimé comment les références aux autres épisodes sont amenés (Docteur Donna par exemple)

Que rajouter de plus à ce que vous avez déjà dit ? Pas grand chose, et je vais surement vous répèter, mais :

Ce double épisode est génial, et cette excellente deuxième partie est peut être bien mon épisode préféré de toute la série.

Et cet épisode est tellement jouissif qu'on ne fait pas attention aux quelques défaults et facilités du récit (ça m'a quand même fait bien sourire cette manière de résoudre en 30 secondes et de manière très conne tous les cliff de la morts que nous avait laissé l'épisode précédent, était-ce involontaire ou totalement assumé sur un ton parodique ? perso, je penche plutôt pour la 2ème option)

Cet épisode nous fait passer par toute les émotions, et on sent qu'il clôt toute une partie de la série, que la suite ne sera plus pareil du tout. L'épisode aurait d'ailleurs de mon point de vue constitué un excellent series finale si la série n'avait pas été renouvellée.

A oui, à propos d'émotions, personne ne voudrait m'aider à constituer un recours en justice contre ce que les scénaristes ont osé faire à la meilleure compagne que le Doctor n'est jamais eu ? Non, parce que, dans cette série, ils ont le don de faire subir des choses atroces à des personnages qui ne le méritent pas une seconde.

Pauvre Donna Noble. La séparation Rose/Docteur en fin de saison 2 m'avait déjà bien amoché émotionnelement (ce qui montre que cette série est vraiment forte, car d'habitude je ne ressent jamais ce genre d'émotions sur ce type de séries), mais alors cette fin pour Donna ... C'est juste complètement déchirants comme adieux (et la musique est magnifique, j'en ai peu parlé dans mes avis, mais le type qui fait la musique de la série est vraiment excellent, ça faisait un bail, depuis X-Files, que je n'avais pas entendu une aussi bonne et marquante BO pour une série).

Sans doute les 5 minutes les plus tristes de la série.

Et puis pourquoi il fallait qu'elle parte aussi ? Ils auraient pu au moins attendre la fin de la saison avant de la dégager

Les adieux de Rose sont par contre cette fois bien moins puissants que ceux de Doomsday, la scène forte du dyptique entre elle et le Doctor reste pour moi la fin de l'épisode précédents, où ils courent l'un vers l'autre avant qu'un Dalek (énorme d'entendre ces Nazis de métal parler allemand tout de même) vienne tout gâcher ...

En bref, cet épisode est génial, et il y a un pincement au coeur pour cette époque qu'on sens se refermer, et tous ces personnages qu'on quitte, pour de bon cette fois. J'espère que la suite sera tout aussi réussie que la 1ère partie de la série.

L'épisode est tellement jouissif qu'on regrette qu'il ne dure pas plus longtemps.

Pour une fois, les Daleks sont intéressants.

Les adieux de Donna sont terribles, la scène est parfaite.

C'est assez horrible, dans le fond, ce qui arrive au personnage de Donna.

Sinon, quelques révélations dans l'épisode très bien amenées.

Ok c'est plein de facilités, mais putain qu'est ce que c'était bien!

L'idée du DocteurDonna et DonnaDocteur, c'était franchement génial.

Concernant la fin, les adieux de Rose sont un peu pitoyables, genre DocteurDonna va se laisser débarquer sur une planète pourrie comme ça sans faire de problèmes, c'est vraiment pour donner un happy end à Rose (alors qu'elle en avait eu un dans la saison 2).

Mais les adieux de Donna sont vraiment horribles. La scènes ou elle l'ignore totalement est sans doute la plus déchirante de la série à ce jour.

Le départ de Donna est vraiment déchirant, je trouvais vraiment sympathique l'idée du Docteur Donna.