Ca va dans tout les sens.

Des révélations. Le retour de Rory. Le livre pour enfants. Moffat est un génie

Bon, honnêtement, j'hésite.

Moi, j'avais rien vu, rien deviné. Donc, la surprise et l'agréable sensation d'être embarquée dans l'histoire a été totale. Et ça c'est bien.

Rory est top, mais ça, au moins, je l'avais espéré.

Les scènes de prégénériques sont vraiment bien... Mais !

Mais il y a trop de choses en seul épisode. Ca va trop vite, et on n'a pas pleinement le temps d'apprécier les multiples révélations et les retournements de situation qu'on passe à autre chose. Et du coup c'est l'émotion qui en pâtit, aussi.

Dommage, parce que c'est intelligent et brillant.

Ah oui, et bon, c'est là, je le sens, que je vais me faire des ennemis... Karen Gillan est mignonne. Ses mini-jupes, ses grands yeux, son sourire, son énergie... c'est chou ! Le personnage d'Amy est vraiment très chouette, avec ce côté badass et chieuse. J'aime bien. Mais je me dis que si en plus, elle était aussi bonne dans l'émotion qu'elle est bonne dans l'action ou la surprise, ou qu'elle est bonne tout court, on y gagnerait.

Là où Catherine Tate m'avait cueillie sur un regard de détresse, les yeux humides de Karen Gillan ne parviennent pas à m'émouvoir.

RIVER: More than just a fairy tale...

C'est une première partie de finale excellente, qui surpasse aisément toutes les autres de la série à l'exception d'une poignée.

On assiste, du début à la fin, à un défilé des meilleures idées pour conclure une saison. Les scènes pré-génériques sont très créatives et jouissives, évidemment grâce au fait de revoir plein de personnages de la saison. Plus globalement, j'adore quand les scénaristes s'amusent à mélanger plein de moments temporels différents. Une introduction vraiment excellente. Qui nous ramène en plus River, qui est juste toujours hilarante, intrigante, et booste chaque épisode dans lequel elle apparaît.

DOCTOR: You graffitied the oldest cliff face in the universe.
RIVER: You wouldn't answer your phone.

Le mystère autour de la Pandorica est assez passionnant, car c'est la première fois que la saison basée sur les contes de fée décide d'offrir sa propre réinterprétation d'un mythe. Les rebondissements sont nombreux et tellement bien amenés quand on revoit l'épisode. La tension monte progressivement, jusqu'aux dix-quinze dernières minutes absolument épiques, avec l'alliance, le TARDIS, la maison d'Amy et Rory... L'épisode se termine sur l'un des meilleurs cliff-hangers de la série, tellement sans-espoir.

L'épisode déborde finalement d'inventivité, car c'est une première partie de finale qui devient très vite extrêmement statique en termes de lieux - tout se déroule à Stonehedge entre quatre personnages. Mais la créativité des dialogues, la poésie et le mystère, nous tiennent constamment en haleine.

DOCTOR: Your favourite school topic. Your favourite story. Never ignore a coincidence, unless you're busy. In which case, always ignore a coincidence.

Le quart d'heure finale est l'accomplissement de tout le build-up qui a précédé, notamment avec ce twist excellent sur les origines de toute l'intrigue. Un conte de fée trop beau pour exister. Rory utilisé contre Amy. Le Docteur qui se fait avoir par sa propre curiosité, avec cette idée incroyable d'une super alliance et d'une prison parfaite pour l'arrêter. Cette Pandorica est un concept mêlant réécriture de vieux contes fantastiques et innovation sci-fi débordante, toute l'essence de cette (superbe) cinquième saison.

Et puis, le fil rouge avait beau être assez évidemment tourné sur les failles cette saison, elles n'apparaissent pas ici. Au lieu de ça, ce sont des idées comme la mort de Rory ou pourquoi le Docteur a embarqué Amy dans l'aventure, qui surgissent de nulle part, rappelant que tout a une importance.

De l'epicness à l'état brut comme on en voit rarement. Pas tout à fait "The Stolen Earth" puisque forcément cela ne concerne qu'une saison et non pas une ère entière, mais c'est vraiment le meilleur final qu'on puisse espérer en guise de saison d'introduction. A nouveau, c'est une fin que les futures saisons de Matt Smith ne sauront atteindre, probablement car il est difficile de faire mieux.

Tout comme Dewey, j'avais deviné l'origine des failles (mais pas le contenu de la Pandorica).

L'épisode était assez bien mené avec la tension qui monte jusqu'à la fin.

J'ai aussi bien aimé l'alliance des ennemis (j'ai au départ cru qu'on allait avoir droit au retour des cybermen....)

La fin donne envie de voir la suite immédiatement, ce qui est un très bon point.

Vraiment excellent, la tension monte durant tout l'épisode et on arrive aux dernières minutes géniales!

Un très bon épisode qui remplit à merveille son rôle d'intro du final : il est rythmé, dôté d'une ambiance bien tendue, bourré de bonnes idées et surtoût il donne envie de voir le suivant tout de suite, et il ramène à lui une grande partie des intrigues de la saison pour nous offrir un crash mémorable bourré de cliffhangers désespérants (pour nos héros bien sûr, car eux sont géniaux).

Alors après, il est dommage que le final ait vachement vite expédié certains trucs géniaux instaurés par cet épisode (la giga villain reunion notamment), et que la résolution de pas mal de ces cliffs ait été bien facile. Mais ce serait injuste de blâmer cet épisode pour les bourdes de son successeur, car le spectacle était quand même génial, c'était super bien joué et avec sur la fin une très légère pointe d'émotion, rien de comparable à ce que la série nous a fait connaître, mais j'était quand même content qu'elle soit là, car je suis persuadé qu'une fois ce détail amélioré, la série atteindra vraiment un cran de qualité définitivement supérieur à ce qu'elle a fait avant.

Ce que je lui reprocherai plutôt c'est que ... en fait c'est pas vraiment un reproche, plutôt un petit regret (mais pas de quoi en faire un drame), car pour un épisode de préparation au grand final de la saison, il a rempli parfaitement son rôle, mais, cependant, il ne vas pas (contrairement à Water of Mars par exemple) au delà de ce que ce genre d'épisode offre habituellement.

Par contre Koss, tu doit être un devin, car j'ai avec cet épisode réelement commencé à m'attacher à Rory.

Et un autre petit bémol (mais ça, c'est purement de ma faute, car moi aussi je me suis amusé à joué aux devins), c'est que j'ai vite compris le contenu de la Pandorica, à cause de ma théorie sur l'origine des failles qui s'est d'ailleurs révèlée exacte (et je suis content car pour une fois, je suis pas dégouté d'avoir cramé un détail à l'avance. D'autant plus que la manière dont elle a été utilisée dans le scénario de la saison, je m'y attendais pas du tout).

Sans aucun doute le meilleur de la saison après "Vincent & the Doctor".

L'intro est mémorable. le reste est vraiment de très haut niveau, très sympathique.

L'alliance des super vilains envoie du pâté.

J'ai aimé.

Tout simplement géniale.

L'intro avec les anciennes rencontre du docteur est une idée des plus brillantes.

Cela va à 200 à l'heure, les personnages courent dans tout les sens, il y a des Dalek, des CyberMen, des Slitheen, des Sontariens et Moffat qui à 3000 idées. C'est très efficace, rondement mené et complètement agréable à suivre.

Un bon épisode avant le final. Rory c'était vu qu'il allait revenir maintenant et un peu beaucoup trop facilement. Sinon encore une fois le Doctor est vraiment bon.

Le retour de River est sympa même si elle fait un peu trop Wonder Woman.