

Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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15.05 - The Story & the Engine
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Diffusion originale : 10 mai 2025
Diffusion française :
10 mai 2025
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Tous les avis
Avis défavorable | Déposé le 11 mai 2025 à 17:18 |
Une bonne idée, mais un profond ennui. Le conteur d'histoire des classiques était bien plus intéressant. |
Avis favorable | Déposé le 11 mai 2025 à 00:28 |
Première fois depuis des plombes que Doctor Who a… Un nouveau scénariste ! Quel vent de rafraichissement et quel épisode fantastique ! C’est un épisode très littéraire qui se base sur une idée très simple : le barbershop est dans la culture afro LE lieu de réunion culturelle et de récit. Le fait de relier ça à la mythologie nigérienne, scandinave, égyptienne et grecque est brillant. Cet exercice de cosmogonie comparé est vraiment tout pile dans ce que j’aime à la fois dans la littérature et l’histoire. Et c’est bien sûr terriblement cohérent avec la « never ending story » qu’est Doctor Who. On obtient un épisode très riche qui fonctionne comme un clos théâtral (le scénariste vient de là) avec une richesse incroyable et plusieurs niveaux de lectures (Rien que l’idée du coeur dans le cerveau c’est génial). Et en prime de tout ça, le scénariste parvient à connecter avec la propre mythologie du Docteur et la Fugitive Doc (J’ai gasp quand je l’ai vu). On est pour l’instant sur une incroyable saison. Pourvu que ça dure. |
Avis favorable | Déposé le 10 mai 2025 à 12:31 |
Ellams fait du Tardis et du salon du barbier des machines à histoires. Plus que ça, il redonne tout son sens à Doctor Who. C'est le récit de dieux très humains qui tombent amoureux et d'humains qui luttent par la solidarité et le pouvoir des histoires. C'est les voix des femmes esclaves, celles des réfugié(es), celles de tous les damnés de la Terre.
Un Doctor Who des gens d'en bas. |
Oh un bottle épisode qui se passe quasi intégralement dans un salon de coiffure.
Mais si je lui trouve de bonnes choses, notamment le fait d'aborder la culture africaine ou le coup du chemin tracé dans les tresses du Docteur, je l'ai trouvé très bavard et assez ennuyeux, quand les incessants revirements de comportements des personnages m'ont fatigué.
De plus, je n'adhère pas du tout à la conclusion qui voit les traditions et les religions comme indispensables à la survie à l'Humanité.
" De plus, je n'adhère pas du tout à la conclusion qui voit les traditions et les religions comme indispensables à la survie à l'Humanité. "
Ce ne sont pas les traditions et les religions, mais les récits qui sont indispensables à la survie de l'humanité (il me semble)
C'est un peu plus ambigu je trouve. Notamment à cause de la scène de fin où les survivants font la révèrence à plat ventre devant la fille d'Anansi.