Image illustrative de Doctor Who
Image illustrative de Doctor Who

Doctor Who

Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par une femme ou un homme. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...

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En cours Anglaise, GB, CA Pas de durée
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique BBC One, France 4 2005
13.19

3 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable

Image illustrative de l'épisode 4.09 - Bibliothèque des ombres (2/2)

Forest of the Dead (2)

Le Docteur découvre des secrets depuis longtemps oubliés mais aussi des révélations sur son futur. Alors que les ombres se remettent en marche, il fait alliance avec la mystérieuse professeure River Song...

Diffusion originale : 07 juin 2008

Cliquez pour voir plus d'informations sur l'épisode

Diffusion française : 07 juin 2008
Réalisat.eur.rice.s : Euros Lyn
Scénariste.s : Steven Moffat
Guest.s : Steve Pemberton , Alex Kingston , Colin Salmon , Mark Gatiss , Talulah Riley , Alex Midwood , Eloise Rakic-Platt , Jessika Williams , Eve Newton , Jason Pitt , Harry Peacock , O.T. Fagbenle , Jonathan Reuben , Mark Dexter

Tous les avis

Avatar MrZ MrZ
Membre
Avis favorable Déposé le 04 janvier 2014 à 19:40

Episode encore excellentissime, juste un peu moins bon que le premier car moins stressant et les passages avec Donna ont tendance à être légèrement longuets.

Mais un scénario incroyable...le dénouement est quasi-parfait, et les révélations finales sont géniales.

Au final, c'est probablement mon dyptique préféré de l'ère Tennant.


Avatar Aalex78 Aalex78
Membre
Avis favorable Déposé le 30 décembre 2013 à 18:24

Incroyable scénario suite, personnage énigmatique de River et du Docteur : comment a-t-il tant de connaissances ? Quelle est sa mission ?


Avatar ndanan2212 ndanan2212
Membre
Avis favorable Déposé le 24 novembre 2013 à 00:31

L'épisode encore meilleur que la première partie avec sa fin pleins d'émotions.

La suite saura nous donner toutes les réponses sur river.


Avatar MarieJeanne MarieJeanne
Membre
Avis favorable Déposé le 14 novembre 2013 à 21:51

Meme note que l'épisode précédent meme si l'épisode était un peu mieux que la première partie. La résolution est bien cherchée car on s'y attend pas et le mystère qui plane autour de River et du Docteur est très intriguant, je suis impatiente de voir un épisode avec River.


Avatar oberown oberown
Membre
Avis favorable Déposé le 04 novembre 2013 à 01:26

Une histoire bien écrite, des bons rebondissements.

Et des bons teasers pour la suite des évènements. Hate de voir la suite !


Avatar Ostrya Ostrya
Membre
Avis favorable Déposé le 04 octobre 2013 à 21:56

2me partie aussi bonne, mais moins angoissante.

Un peu de mal avec le concept de réalité virtuelle qui donne le tournis.

J'aime bien la notion de "la bibliotheque EST la forêt". Et oui, à perturber l'environnement on se chope des virus...

Jai bien aimé voir Donna dans une vie routinière mais pleine d'amour, et je suis triste qu'elle croit cet homme irréel.

Son manque de confiance en elle refait surface! Ah si cet imbécile de chéri lui avait courru après au lieu de bégayer!

Pourquoi donc le Docteur n'a-t-il pas plus de chance que River de survivre au téléchargement? Si elle est humaine, elle est censée être plus fragile que lui... j'en conclus qu'elle est comme lui? Mais alors pourquoi ne pas se regénérer? Donc elle n'est pas comme lui? Bref, vivement d'en savoir plus.

(Edit: j'ai enfin ma réponse à l'épisode 8 saison 6)

David Tennant est si poignant qd il la regarde mourir tout en comprenant combien il va aimer cette femme dans le futur... (meme Rose n'a pas eu cette familiarité avec lui).


Avatar Puck Puck
Membre VIP
Avis favorable Déposé le 30 septembre 2013 à 00:19

Pas de bémol pour moi. Cette deuxième partie est peut-être moins angoissante, puisque l'on connaît les règles du jeu. Mais j'aime l'idée que Moffat fasse de nous ses complices après que l'on a été ses victimes. Les rebondissements sont (presque) tous prévisibles, mais c'est un plaisir. Et j'ai trouvé le monde virtuel tout a fait bien, BTW.


Avatar Galax Galax
Administrateur
Avis favorable Déposé le 10 juillet 2013 à 00:38
Spoiler

Un épisode qui conserve tout le charme de ce qui a fait que la première partie était unique, et compense le manque d'effet de surprise et la familiarité avec l'univers en bouclant son histoire de manière époustouflante et en ouvrant complètement notre imagination pour la suite.

Les bonnes idées continuent de pleuvoir à n'en plus finir, avec certes une fluidité légèrement réduite par rapport à la première partie, mais avec un panache augmentée. C'est le séquel parfait, à la fois dans la continuité de la suivante, tout en apportant d'autres dimensions à son histoire.

Il faut déjà souligner que cette histoire en tant qu'objet d'étude dans la série, est sûrement l'une des plus fascinantes et denses. Je l'ai déjà relevé sur mon avis en première partie, mais j'anticipais en fait sur la qualité principale de la seconde partie : cet épisode est une vraie prouesse venue du futur. A savoir que tout prend son sens, d'une façon presque trop incroyable pour être vraie, lorsque la série avancera dans les années suivantes.

Cela passe par des éléments évidents d'un point de vue du scénario : River et Donna, bien sûr. Egalement, dans le style du script. Comme souvent avec les épisodes d'un scénariste avant qu'il ne devienne plus mature (et plus pompeux, aussi), on retrouve déjà des traces (également présentes dans Blink), avec la place prépondérante des écrans dans cette sublime scène de mise en abyme de la série, où la petite Charlotte regarde les aventures du Docteur et de Donna sur sa télé. Tout ce méta caractérisera non seulement l'oeuvre de Doctor Who à partir de certaines saisons, mais également montre que l'épisode a conscience de sa place toute particulière dans la série. Et l'épisode le sait très bien, puisqu'il intègre ouvertement les notions de "Spoilers !" au centre de son climax, ce qui est ridiculement trop rupture de quatrième mur geek sur le papier, mais qui ne choque pas à un seul instant tant c'est adapté.

Même dans des détails comme la musique, toujours fabuleuse, on constate que c'est non seulement parfait au premier degré de l'épisode - les marqueurs sonores dans le monde de Donna pour souligner les dissonances, les ellipses ou les rebondissements en faisant varier les instruments, sont incroyablement travaillés, par exemple. Mais aussi : tout a un sens : on retrouve carrément les notes de thèmes musicaux centraux à venir pour des éléments comme le départ de Donna, et surtout, le thème musical du prochain Docteur de la série, celui que River considère comme "son" Docteur ! C'est absolument brillant. 

Et puis bien sûr, il y a River. Quel personnage incroyable ! Son histoire est l'exemple le plus pur et maîtrisé du caractère intemporel et surréaliste de l'épisode, puisque son histoire devient d'autant plus déchirante qu'on a vu toute la suite et que la série grandit. L’idée des timelines inversées, sans être foncièrement nouvelles (s'inspirant de Face de Boe et Jack Harkness - un emprunt au passé de la série explicitement cité avec la résolution du cliffhanger par le pistoler), est vraiment présentée avec un charme et un suspens inégalés.

Tout le monde voit l'épisode du point de vue du Docteur la première fois, ne comprenant pas vraiment le personnage du professeur Song, et c'est une dimension de lecture entière qui est ajoutée si l'on y revient avec le point de vue de River.

C'est une vraie prouesse que de prendre un épisode de télévision, à savoir un objet statique, écrit, tourné et diffusé à un instant T, et de parvenir à créer un objet dynamique qui, volontairement, évoluera avec le regard qu'on lui porte. Grâce à ses qualités intrinsèques, mais aussi à l'héritage qu'il laisse et sur lequel la série capitalisera, cette histoire et cette seconde partie d'épisode en particulier, transcende ni plus ni moins les âges et les lois de l'art. Dans une série sur le voyage dans le temps qui prône l'ouverture d'esprit, la liberté de penser, le naturel du renouveau et de cycles sans fin. Que c'est beau !

Et le tout, dans un cadre où une bibliothèque est associée à... une forêt. Subtile et sublime façon de rapprocher la vie dans sa dimension la plus naturelle, avec la création d'histoires et les possibilités infinies de la fiction. Le twist (bien que difficile à deviner et un peu trop long à la détente pour le Docteur) renforce encore plus la dimension morbide de l'épisode et donne un double-sens inévitablement macabre au titre.

Il reste alors à évoquer l'ultime partie de l'épisode, celle qui est parfois décriée mais qui lie tout l'ensemble : la vie parallèle de Donna. Cette intrigue brise toutes les règles et notamment, renverse le huis-clos instauré jusqu'alors... Pour nous emmener dans un monde encore plus inquiétant, car illusoire. Aussi macabre est la réalité qui se trame dans la bibliothèque, elle est rassurante en ce sens qu'elle est réelle, là où l'univers de Donna relève du cauchemar sans fin. A nouveau, le scénario fait appel à la répétition, et parvient en quatre scènes à instaurer des règles, une routine, des anomalies, un renversement de situation, et une fin émouvante. Chaque intrigue apporte son lot de révélations, et peut-être qu'avec de tels crève-coeur dans les deux mondes, l'épisode nous rappelle malgré ses contrastes entre rêve et réalité, que tant qu'on vit et qu'on pense, c'est réel...

Pour moi et contrairement à ce qui est reproche à cette deuxième partie, je trouve cette intrigue de Donna très loin d'être superflue, plutôt complètement cruciale à vrai dire. Il s'agit en effet, d'une part, d'apporter des explications sur le fonctionnement du monde pour ne pas rendre l'épisode inutilement confus et rendre accessible à toutes et tous son intelligence, à travers cette superbe utilisation de Miss Evangelista - un personnage extrêmement humain et touchant en première partie, transcendé ici vers un sort qui la dépasse. Un peu comme cette seconde partie qui tente de basculer d'un conte horrifique poétique, sur une vraie oeuvre de science-fiction complète avec un message sur la vie, notre rapport à la mort, et la place de la fiction dans tout ça. Et au-delà de faire avancer et éclaircir considérablement l'intrigue, d'assurer un genre malsain (avec l'idée odieuse des enfants fabriqués par soucis d'optimisation de mémoire - comme ) pour contrebalancer les parties à la bibliothèque moins inquiétantes car plus explicatives et conclusives, de présenter toute la philosophie de l'épisode sur ce qui fait le réel et les vivants... et bien, au-delà de tout ça, tout le monde virtuel de CAL est finalement avant tout un avant-goût du sort du personnage central de l'épisode, à savoir River.

River meurt, comme il est évident qu'elle devait le faire thématiquement, dans un épisode baignant dans la mort en permanence... mais elle effectue aussi une certaine ascension. C'est non seulement super cohérent avec le monde qu'on nous présente, mais cela dit aussi quelque chose sur la narration au sens large, et c'est probablement le sens le plus meta le plus complexe et le plus meta de la série que celle-ci ait jamais fait. On peut en effet beaucoup critiquer la fin de l'épisode comme étant une fausse happy-ending, à savoir d'être présentée de façon positive en étant au fond très ambigue. Et c'est tout à fait vrai, c'est pour cela qu'elle est d'autant plus brillante.

On peut tout d'abord comparer les parcours de Donna et River, qui ont des trajectoires opposées car elles "échangent" de place entre les deux mondes à la fin. L'image de Lee qui ne parvient pas à appeler Donna de retour dans la bibliothèque, ce qui les sépare à tout jamais, est non seulement tragique... mais très belle car elle prouve que tout ce qui s'est passé dans le monde virtuel, même en accléré, était réel et a nourri de vraies émotions. Cela fait passer la pillule pour la pseudo-vie de River. Sans que ce soit tout à fait satisfaisant, certes...

En même temps, ce double-sens est tout à fait voulu et accentué par l'emploi des mots (l'ironie d'avoir "sauvé" des gens, notamment). C'est toute la beauté de l'histoire, qui vante les mérites d'une belle mort et d'une belle fin... mais qui avance que toute fin n'est pas définitive, malgré toute la frustration qui en découle.

Pourquoi alors, ce choix si évident de dissonnance entre la mort, la tristesse et le caractère illusoire d'une pseudo-vie éternelle qui est fausse, bref, une mauvaise fin pour River... et ce positivisme si naïf et absolue sur le fait de l'avoir sauvée et de faire un happy-end ? Pourquoi une belle histoire, de beaux sourires, et même un speech "Everybody lives!!!" qui reprend explicitement les mots de Christopher Eccleston dans la happy-ending totale et sans équivoque de The Doctor Dances en saison 1 ?

La réponse est simple, et tient à nouveau en un mot : le futur. Si River continue de vivre, c'est bien car elle fait maintenant partie... d'une hsitoire. Une histoire sans fin, qui se répète, qui n'est pas "la réalité". Mais si elle est entourée par les gens qu'elle aime et que nous avons appris à aimer si vite (le sourire de Miss Evangelista <3), si elle est entourée, à l'instar de CAL, par tous les livres de l'histoire de la création, et a ainsi accès à toutes les histoires qui ont ou auront jamais lieu... en quoi est-elle morte ? Et pourquoi ne peut-elle pas être heureuse ?

River est bel et bien morte tragiquement, et héroïquement, dans la bibliothèque. Tout ce qu'elle n'est maintenant, ce n'est plus qu'une histoire... et justement. Ce "tout le monde vit" ne veut pas dire que personne ne meurt. Mais que personne ne meurt "complètement". Et qu'être vivant, ce n'est ni plus ni moins que faire partie d'une histoire.

Cette association entre réelle et illusion, entre vie et mort, s'illustre partout dans l'épisode, des Vashta Nerada dans leur forêt de livres, à la vie tordue de Donna, Miss Evangelista et Charlotte, en concluant par River et les aventures à venir qu'elle emporte avec elle, que nous découvrirons dans le futur de la série, et qui feront perdurer sa vie dans nos mémoires.

Oui, River est bien vivante : dans toutes les histoires qu'il reste à raconter. Non seulement les "vraies" histoires (les épisodes de la série), mais aussi, les imaginées, celles que l'on se fera dans nos rêves... Ainsi nous le dit-elle dans son speech final, avant d'éteindre la lumière. Encore un aspect un peu contradictoire ou ambigu : nous replonger dans l'obscurité, ce qui nous a fait trembler tout au long de cette aventure, en nous souhaitant justement de "faire de beaux rêves", et ainsi continuer d'écrire la suite de son histoire.

Le noir final souligne toute la contradiction de l'épisode, ayant toujours symbolisé la peur, les antagonistes, l'inconnu et l'irrationnel dans l'épisode ou la fiction... ce qui rejoint l'idée d'une fin en réalité très triste et ironique. Mais en nous souhaitant de beaux rêves, Steven Moffat transforme au contraire l'obscurité, comme une optique positive qui permet d'écire la suite.

Jamais un écran noir n'aura eu autant de sens que dans cet épisode, et je n'aurais jamais cru qu'on pouvait ainsi associer un écran noir et une page blanche. Cette tombée de rideau obscure n'est ni plus ni moins que le début d'une nouvelle histoire qui existera pour toujours. En fait, le niveau de lecture contenu dans chaque scène (parfois chaque plan), est au moins aussi hallucinant et travaillé avec minutie, que ne l'étaient les concepts innovants de la première partie, en laissant la possibilité à chacun de choisir sa version de l'histoire.

Et tout ce speech, elle le lit... de son journal - le livre le plus important de tous pour nous dans cette bibliothèque exhaustive de l'univers, puisqu'il agit comme l'encyclopédie de la série pour les télespectateurs. Elle lit son journal qui représente, littéralement (et oui encore une fois) le futur de la série.

Le Docteur n'a pas "sauvé" River, il l'a "sauvegardé"... mais Donna a bel et bien vécu, comme River vit actuellement, et pour toujours. Effectivement, "la mort nous donne de l'ampleur", comme annonçait le Docteur en première partie, surtout si cette mort intervient dans un contexte aussi particulier, à la croisée des chemins entre réalité et illusion, rêve et cauchemar, renouveau et répétition, possibilités infinies et futur inébranlable, méfiance et espoir, mort et vivant, mise en abyme et fiction...

De tout cela, je ne retiendrais qu'une vie pleine d'un futur qui ne demande qu'à être découvrir, qu'il soit funeste pour Donna, heureux pour River, ou un peu de tout cela pour le Docteur : il ne sera qu'une seule chose, vivant.

C'est en tout cas comme ça que je choisis de comprendre cet épisode, et c'est sans doute parce que j'ai grandi avec lui et en ayant toujours la bibliothèque en tête en regardant la suite de la série, que je lui trouve un sens si fin et si spécial, et autant de thématiques fascinantes. Et je ne l'ai pas vraiment abordé car je pars beaucoup en interprétation, mais même à un niveau de degré plus "direct", l'épisode est vraiment merveilleux dans la façon dont il développe le Docteur et son rapport aux autres qu'ils cherchent toujours à sauver, et bien sûr à River, en donnant à cette héroïne une fin tragique mais qui est issue de son propre choix, car elle veut que ses moments avec le Docteur ne soit jamais réécrit. Elle a conscience, par son sacrifice, que le Docteur saura alors depuis toujours qu'elle est destinée à venir-là, et cela a forgé leur relation. Elle choisit de conserver le spoiler pour lui, pour partir avec ses souvenirs. Et je trouve ça fabuleux d'ailleurs, que l'épisode revienne sur cette notion de "le temps peut-être réécrit, rien n'est fixe" avec laquelle les saisons 3 et 4 commencent à largement flirter, mais en donnant un twist romantique à l'ensemble.

C'est un épisode riche de par ses contrastes, que je trouve parfait sous tous ses angles de lecture : en tant qu'aventure épique et sentimentale, qui fait passer par tous les stades d'expérience, valsant entre le morbide, le fascinant, la surprise et l'émotion. Mais aussi en tant qu'aperçu sur le futur proche ou lointain de la série, qui ne fait que gagner en importance et qu'il fait bon de revisiter ne serait-ce que parce que la qualité est excellente, finement écrite, magnifiquement produite, qui offre certaines des meilleures scènes de la série dans son acte final. Ou bien aussi, avec sa morale plus large sur qu'est-ce que signifie être en vie, qu'est-ce qu'une histoire, et qu'est-ce qui fait qu'un personnage vit pour toujours. La réponse que je retiens de l'épisode étant : tout cela ne désigne qu'une seule chose.

Inspirant et intemporel : ce double-épisode est parfait à mes yeux, parce qu'il est non seulement de qualité, extrêmement émouvant et fascinant à vivre, à ressentir et à réfléchir, mais aussi très personnel, de la part de son auteur, de sa série ou de son spectateur, ce qui en fait une oeuvre qui me parle et dont je ne me lasserai jamais de revisiter et de re-rêver...

RIVER: Everybody knows that everybody dies. But not every day. Not today.


Avatar Jasper Jasper
Membre
Avis favorable Déposé le 10 avril 2013 à 12:15

Même commentaire que pour la première partie. L'épisode vaut 17 rien que pour River Song. Et on a déjà les prémisses du destin cruel de Donna avec son mari virtuel/pas virtuel.

3 réponses
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Avatar Dreamsteam Dreamsteam
Membre
Avis favorable Déposé le 27 octobre 2012 à 20:11

La 2ème partie est en dessous de la 1ère au niveau qualité mais j'ai mis la même note grâce à la fin et à River Song.


16.3

37 notes

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