Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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26.06 - Lumière fantôme - Partie 2
Ghost Light (2)
Voir partie 1...
Diffusion originale : 11 octobre 1989
Diffusion française :
11 octobre 1989
Réalisat.eur.rice.s :
Alan Wareing
Scénariste.s :
Marc Platt (II)
Guest.s :
Brenda Kempner
,
Carl Forgione
,
Frank Windsor
,
Ian Hogg
,
Jack Talbot
,
John Nettleton
,
Katharine Schlesinger
,
Keith Harvie
,
Sharon Duce
,
Sylvia Syms
Seconde partie assez poussive, le fait de ne rien capter à l’histoire a son charme, mais les scènes kitschs viennent vite nuire à ce charme. Tout le passage où l’entité de Lumière veut s’échapper de la salle de contrôle est un peu mal foutu, sa vieille voix anglaise super naze, etc. Au passage, merci JNT pour les monstres “carcasses du méchant”, le producteur ayant jugé qu’il n’y avait “pas assez de monstres traditionnels” cette saison, et a jugé bon d’en forcer dans le scénar’.
L’ambiance générale reste intéressante, avec des scènes très creepy (la transformation du révérend en singe quand il mange une banane). Le fait que les insectes ressuscitent me fait dire que les choses se déroulent peut-être en temps à sens inverse ? On semble assister à un duel entre la Lumière et le Contrôle, les deux devant sans doute symboliser l’avancée vs. le réactionnaire. Et quel est le rôle de l’humain au milieu de cela ?
Mais c’est trop dur à suivre à mon goût, ça name-drop des persos à tout va, et surtout l’épisode est vraiment trop rapide voire trop rythmé. Un comble pour un classique ! Mais c’est le cas : les scènes semblent s’enchaîner sans trop de naturel, on n’a pas le temps de vraiment apprécier l’ambiance des lieux et l’originalité de l’épisode, par rapport à un épisode comme Warrior’s Gate par exemple. Les codes classiques d’une histoire de Who sont relativement absents (des personnages secondaires clairs et fouillés, des dialogues amusants du Docteur, etc.), mais c’est attendu et ça fait partie du contrat avec ce genre d’épisodes. Cela reste embêtant que l’épisode ne dépayse pas tant que ça dans ce qu’il cherche à faire, du coup.
Le fait qu’Ace part tranquillement dormir toute une journée par exemple, après avoir été attaquée, et juste ensuite se refait vite capturer : tout cela donne une transition étrange et un sens temporel sans dessus-dessous… Ce qui est peut-être le but ? En tout cas, je suis un poil déçu que le Docteur ne revienne jamais sur le passé de sa compagne dans cette partie, après nous l’avoir teasé au départ.
Pour un épisode en trois parties, le mystère n’avance ici pas tellement, et j’ai l’impression de ne voir que de nouveaux enjeux par rapport à la partie 1.