Platane
Après un an de coma, et alors que son camarade Ramzy triomphe dans HP (la suite de H), Eric, légèrement amer et encore embrumé, a une révélation : il va se lancer dans le cinéma d'auteur et prouver qu'il peut faire un film sérieux, profond et émouvant. Malgré le scepticisme général, il décide d'écrire la ...
Lire le résumé complet >
En cours | Française | 25 minutes |
Comédie, Comedy | Canal+ | 2011 |
0 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
1.05 - La fois où il aimait une Chinoise... ou une Vietnamienne...
Episode 5
Il manque à l'équipe du film une personne cruciale : le réalisateur. Le problème semblerait être en passe d'être résolu car un accord risque d'être passé avec Mathieu Amalric. Seulement, alors que l'équipe participe à un rendez-vous décisif avec le comédien, les choses ne se déroulent pas du tout comme prévu. Parallèlement, Eric rencontre la fille du vieil homme qu'il a renversé. Il décide de l'inviter à dîner. Pour que ce rendez-vous se déroule le mieux possible, Eric laisse à Flex le soin d'arranger son appartement. Mais est-ce vraiment une bonne idée ?...
Diffusion originale : 12 septembre 2011
Diffusion française :
12 septembre 2011
Réalisat.eur.rice.s :
Éric Judor
Scénariste.s :
Éric Judor
Guest.s :
Guillaume Canet
,
Mathieu Amalric
,
Monica Bellucci
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 17 septembre 2011 à 22:48 |
Cette fois ça fonctionne un peu mieux. Notamment la scène de la voiture avec les chinois au début, ou la fin avec Guillaume Canet. Par ailleurs, je trouve que les extraits du film sont assez réussis. Parce que pour le coup c'est vraiment décalé. Quand il s'agit des scènes dans la "réalité", ce décalage ou cette exagération ne fonctionnent pas, car les situations ne sont plus du tout crédibles. Et la plupart du temps pas drôles. |
Avis favorable | Déposé le 14 septembre 2011 à 20:22 |
Alors je mets favorable uniquement pour une vanne : celle sur Quentin Dupieux qui "maintenant filme des pneux alors je sais pas trop" (allez voir Rubber le film vous comprendrez). Très bien sorti, surtout quand on sait qu'ils sont potes. Après l'épisode n'est toujours pas transcendant et l'histoire d'instant sex, j'ai trouvé ça assez lourd. |
Derniers articles sur la saison
Critique : Platane 1.11
Eric Judor semble être fatigué de son travail de réalisateur-scénariste-producteur-acteur. En même temps, moi je suis fatigué de faire ces critiques.
Critique : Platane 1.09
L'épisode qui aurait dû être le dernier
Critique : Platane 1.10
Le faux film d' Eric Judor est fini, la série s'essouffle.
Clairement, l'un des épisodes les plus drôle depuis le pilote, les bons mots s'enchainent, les situations rigolotes aussi, le clin d’œil à Rubber excellent et Amalric (que j'adore) ou Canet (que j'aime moins, mais là, je l'ai trouvé sympa) sont très bons.
Le problème est que le tout est écrit avec les pieds :
- Déjà, il faut fermer les yeux sur les blagues homophobes et racistes envers les asiatiques.
- Dès que l'agent d'Amalric annonce que ce dernier est amoureux d'une fille, j'ai su que cette info n'était pas anecdotique et que cela allait servir plus tard. Et en effet, le cheminement pour arriver au quiproquo final (Eric qui fait croire qu’il a couché avec une fille dans les toilettes parce ce qu’il a peur que l’agent le prenne pour un homo, car il l’a capté deux fois en compagnie d’hommes, fille qui est comme de par hasard la copine de Mathieu) est super grossier, bâclé et méga-prévisible.
- le subplot sur la vietnamienne est sympa au début, mais chute sur la fin, lorsque soudainement la fille se jette sur Eric pour coucher avec, alors qu’elle venait de l’envoyer chier deux scènes avant lorsqu’elle avait découvert les préservatifs dans sa chambre. Cela donne l’impression d’une ébauche d’intrigues non aboutis (le concept du livre texto de Flex) qui foirent à retomber sur leurs pieds.
Bref pour apprécier Platane, il est demandé de ne pas faire attention au scénario et à son déroulé sans imagination, mais de se focaliser sur les vannes balancées.
Finalement, contrairement aux ambitions d'Eric Judor, on n'est pas très éloigné de H.