Pride and Prejudice
Orgueil et Préjugés
"C'est une vérité universellement reconnue qu'un célibataire pourvu d'une belle fortune doit avoir envie de se marier..." Comme tous les autres, le plus célèbre des romans de Jane Austen n'a qu'un seul sujet : le mariage, ses raisons, ses sentiments, et la dépendance des femmes dans une bonne société régie par ...
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Terminée | Anglaise | 55 minutes |
Drame, Drama, Mini-Series | BBC One, TMC | 1995 |
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1.06 - Episode 6
Part 6
Vickam et Lydia se marient avec pour seuls témoins les Gardiner et Darcy qui, se sentant en partie responsable du scandale, a pris en main cette union. Bingley refait surface et déclare sa flamme à Jane. Quant à Elizabeth, elle doit affronter le courroux de Lady Catherine, outrée à l'idée que son neveu Darcy n'épouse pas sa fille comme les arrangements familiaux le prévoyaient. Elle lui demande de s'engager à ne pas se marier avec Darcy mais la jeune fille refuse.
Diffusion originale : 29 octobre 1995
Diffusion française :
29 octobre 1995
Réalisat.eur.rice.s :
Simon Langton
Scénariste.s :
Andrew Davies
,
Jane Austen
Guest.s :
Emilia Fox
,
Lynn Farleigh
,
Marlene Sidaway
,
Nadia Chambers
,
Rupert Vansittart
,
Sam Beazley
,
Tim Wylton
Un final en apothéose pour ce chef d’œuvre de la littérature anglaise, si bien retranscrit dans cette adaptation !
Cette fois, les barrière de la fierté de Mr Darcy et de Lizzie sont tombées, ainsi que les préjugés sur leurs milieux respectifs. "super Darcy" a sauvé la famille Benett, et finalement, Jane et Bingley peuvent se retrouver.
On peut noter encore une fois le non-romantisme absolu de Jane Austen dans ce qui est pourtant fondamentalement une histoire d'amour : Jane et Bingley sont présentés comme extrêmement influençables et trop gentils, le mariage de Lydia et Wickham est une farce pour sauver les apparences et la famille. Quant à Lizzie, elle n'admet ses sentiments pour Mr Darcy que par bravade envers lady Catherine de Bourg. Et lorsqu'ils se déclarent leur flamme respective, c'est à peine s'ils se regardent, et les réplique n'ont rien de guimauve. Dommage pour le baiser final, qui n'est pas vraiment dans le ton de l'époque où manifestement moins de 1 m entre un homme et une femme en public semble être inconvenant.