Distrayant, mais rien de plus. De base, je ne suis pas fan des films de braquage/trahisons multiples, etc. Alors faire un épisode sur cette thématique ne m'a pas plu outre mesure (heureusement qu'il y'avait le sosie de Freddie Mercury les premières minutes).

Je rejoins l'avis général : pour le moment, cette saison est vraiment trop simple et se repose beaucoup sur ses acquis. 

Pas exceptionnel mais cette parodie de parodie de parodie de parodie (etc.) était plutôt sympa à suivre. Cette saison est assez étrange, un peu simpliste à ce stade.

A nouveau pas ouf, comme le dit nick ça devient répétitif à la moitié, mais la fin où on se recentre sur Morty et Rick qui le manipule, c'était pas trop mal (j'essaye de chercher des trucs...).

Elon Musk joue aussi mal son propre rôle que dans les Simpsons.

J'aime bien les films de cambriolages et on assiste ici à une sorte de speech qu'Harmon pourrait faire contre un sujet spécifique dans son podcast. Ca pourait être n'importe quoi : les frigo, MacDo ou donc les films de cambriolages. C'est sympathique et plaisant, mais Harmon et Rolland semblent être un peu devenus Rick eux-même, avec notamment plusieurs lignes de dialogques qui semblent répondre aux critiques des fans (" Your boos mean nothing to me. I've seen what makes you cheer." par exemple) et cette espèce de tacle sur le scénario de Dr Strange qu'Harmon a co-écrit.

Et puis, la pub pour Arby's en début d'épisode et l'apparition d'Elon Musk au moment où il sort sa voiture, bon...

RaM s'empare d'un genre et en pousse ses logiques à fond pour le parodier.

Cela avait fait le sel des meilleurs épisodes de Community, et j'ai été vraiment bien emporté par les premiers twists du récit. Malheureusement, arrivé à la moitié de l'épisode, on se doute que la surenchère ne va jamais s'arrêter et la suite est plus prévisible jusqu'à la chute un peu nulle et déjà-vue.

Mais j'ai enfin retrouvé le sourire devant un épisode de la série et l'absence de sous-intrigue familiale fait du bien.

Le concept des Ocean Eleven, Twelve, etc poussé à l’extrême, à l’excès, au rouleau compresseur jusqu'à l'épuisement total. Cela donne un épisode divertissant qui va à mille à l'heure et qui déborde d'idées. Rien de renversant ou d'essentiel, mais on passe un bon moment. Faut accepter maintenant que c'est le mieux qu'on puisse espérer d'un épisode de RAM.