Seinfeld
Dans son propre rôle de comique, le bavard Jerry Seinfeld mène une vie qui ne le gâte pas tout le temps, notamment à cause des femmes. Avec son collaborateur malhonnête et son voisin loufoque, Jerry analyse toutes les petites choses du quotidien et les absurdités de la société.
Terminée | Américaine | 25 minutes |
Comédie, Comedy | NBC, France 2, HBO | 1989 |
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2.05 - L' Appartement
The Apartment
Lorsque l'appartement à côté du sien se libère, Jerry arrive à convaincre le propriétaire de le laisser à Elaine. Soudain, il réalise que celle-ci pourra alors surveiller tous ses moindres gestes. En attendant, il s'empresse de claironner à la ronde qu'il a un coeur à prendre
Diffusion originale : 04 avril 1991
Diffusion française :
04 avril 1991
Réalisat.eur.rice.s :
Tom Cherones
Scénariste.s :
Peter Mehlman
Guest.s :
David Blackwood
,
Glenn Shadix
,
Jeanine Jackson
,
Leslie Neale
,
Mel Ryane
,
Patricia Ayame Thomson
,
Theresa Randle
,
Tony Plana
Tous les avis
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Critique : Seinfeld 2.01
Episode de reprise convenable, qui prolonge sans renouveler avec une histoire de rupture peu crédible. Au programme, les joies du hasard selon Georges et Kramer, et des personnages secondaires en manque d'indépendance..
8ème épisode dans l’ordre de création et non de diffusion
Historique : le premier « Get Out » d’Elaine où d’enthousiasme, elle pousse Jerry des deux mains. Il y aura des tonnes d’autres.
Sinon, mis à part le duo Harold et Manny lourdingue et bruyant (mais à mon souvenance, ils ne réapparaîtront plus), l’épisode est très drôle.
La série vient de trouver son ton politiquement incorrect (lorsque Jerry et Elaine se réjouissent de la mort de la voisine) avec des personnages égoïstes et lâches (Jerry qui ne dira jamais à Elaine qu’il préfère qu’elle ne soit pas sa voisine, mais va comploter pour que le projet foire).
Tandis que George s’embarque dans des histoires pas possibles qui lui retombent sur le nez (l’alliance), Kramer prend aussi de la hauteur. Ce que j’aime bien chez ce personnage est qu’il n’est pas que le voisin huluberlu de Jerry. Il aurait très facile d’en faire un personnage un peu stupide, toujours en décalage avec la réalité. Non Kramer est intelligent et sensible à ce qui se passe autour de lui. Même si Jerry le prend bien de haut (« Let me explain something to you. You see…you’re not normal. You’re a great guy. I love you, but you’re a pod"), il est le seul de la bande à aider ses amis de manière totalement désintéressé.
Bref, un très bon épisode où la mayonnaise commence à bien prendre avec le quatuor (cf la scène de l’appart où les quatre sont réunis, beau modèle de séquence dynamique et rigolote).