The Bear
The Bear : sur place ou à emporter
Un jeune cuisinier qui a travaillé dans les meilleurs restaurants gastronomiques du pays retourne au bercail et retrouve la grisaille de Chicago pour reprendre la sandwicherie de son frère.
| En cours | US | Pas de durée |
| Drame, Comédie | Hulu, | 2022 |
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3.08 -
Glaçons
Ice Chips
Sugar trouve un soutien inattendu.
Diffusion originale : 26 juin 2024
Diffusion française :
26 juin 2024
Réalisat.eur.rice.s :
Christopher Storer
Scénariste.s :
Joanna Calo
Guest.s :
Chris Witaske
,
Jamie Lee Curtis
,
Ricky Staffieri
,
Keith Kupferer
,
BrittneyLove Smith
,
Miriam Lee
,
Wendy Mateo
,
Aven Campau
Tous les avis
Jo_
nicknackpadiwak| Avis neutre | Déposé le 01 octobre 2024 à 16:52 |
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On touche là à mon goût au limite des séries qui veulent d'être originales à chaque épisode en imposant un ton sans cesse renouvelé, car durant tout l'épisode je ne cessais de m'imaginer le moment dans la salle d'écriture où quelqu'un s'est écrié "et si on faisait un épisode complet dans une chambre d'hôpital entre Nat et sa mère ?", avec le reste des scénaristes applaudissant des "très bonne idée" "excellent" ou autres "chiche" (oui, dans mon imagination, les scénaristes utilisent du vocabulaire suranné). Il y a aussi un côté "performance pour aller gratter un Emmy" proposée aux deux actrices qui me gêne. Perdu, c'est finalement Liza Colon-Zayas qui l'aura pour son épisode-focus où effectivement, elle est plus sobre, moins démonstrative et (donc ?) plus poignante. Donc ça et le fait que je trouve le jeu de Jamie Lee Curtis un peu trop much pour ne pas me fatiguer font que j'ai un peu souffert durant 40 minutes, tout en reconnaissant des qualités à l'épisode, comme Abby Elliott filmée avec un réel amour. |
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Manoune398| Avis favorable | Déposé le 29 août 2024 à 02:09 |
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Pour l'intensité de Jamie Lee Curtis qui impressionne décidément dans ce rôle, mais aussi pour le talent et la vulnérabilité d'Abby Elliott, cet épisode mérite une note plus haute que la moyenne. Notamment parce que la progression du scénario est ce qui fait tout l'épisode, avec une superbe qualité d'écriture, une rencontre entre deux femmes, filmées en gros plan. Les thématiques sont connues et explorées, surtout depuis quelques années : la maternité, la parentalité (et dans le cas de The Bear, une parentalité imparfaite, ambivalente et toxique), les relations mère-fille, l'accouchement... De toute façon, il n'y a pas vraiment de débat à mon sens : un script très bien écrit qui est très bien porté à l'écran par ses interprètes ne peut pas faire un mauvais épisode. Ce n'est pas le meilleur de la série, mais c'est certainement un épisode qui mérite d'être souligné. Tout le monde ne s'y retrouvera pas, l'ennuie guette peut-être certains, pourtant on a là un superbe épisode : pas dans son caractère divertissant ou fou (surtout pour la série), mais au contraire dans sa capacité à aller dans les silences, les regards, les contractions et les émotions pendant 40 minutes. |
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Pour le moment, mon épisode préféré de la saison. J'avais peur qu'il tombe dans le cliché de "la première scène se deroule à l'hôpital, avec Natalie sur un brancard", ou encore "la mère a fait exprès de ne pas appeler Pete pour rester avec sa fille". Et heureusement, il n'en est rien.
On passe 40 minutes à alterner entre de la souffrance dans sa forme la plus pure et violente, et de l'amour souvent toxique entre une mère et sa fille. Les deux actrices sont formidables et, contrairement à l'avis de Nick, pas du tout dans le surjeu selon moi. Les dernières minutes où elles ne font que se regarder laissent passer tellement d'émotions... c'est très fort à regarder et lourd de sens dans un moment si exceptionnel dans sa vie.
Pas tant que je pense que les deux actrices sont dans le surjeu (allez, peut-être JL Curtis), mais il y a un côté ostentatoire que je n'ai pas aimé, comme quand, par exemple, on voit de la morve sortir du nez d'Abby Elliott (moment qui m'a rappelé par ailleurs l'horrible La Vie d'Adèle). Je trouve qu'il y a dans cet épisode un aspect "performance - on va gagner un Emmy avec celui-là" trop prononcé