The Prisoner
Le Prisonnier
Lorsqu'un agent secret britannique démissionne, il est enlevé par un mystérieux groupe, et retenu prisonnier dans "le Village", un endroit d'où on ne peut sortir, et où on a pour seul nom un numéro. N°6 n'a que deux solutions pour quitter "le Village" : avouer le motif de sa démission, ou trouver un moyen de ...
Lire le résumé complet >
Terminée | Anglaise | 60 minutes |
Science-Fiction, Drama, Thriller | ITV1, France 2 | 1967 |
2 avis favorable
1 avis neutre
0 avis défavorable
1.02 - Le carillon de Big Ben
The Chimes of Big Ben
Numéro 6 a une nouvelle voisine, la mystérieuse Nadia Rakovski, alias Numéro 8. Celle-ci prétend détenir des informations sur leur lieu de détention, qui pourraient les aider pour une éventuelle évasion. Un projet qui prend forme sous couvert du concours d'art organisé au sein du Village...
Diffusion originale : 06 octobre 1967
Diffusion française :
06 octobre 1967
Réalisat.eur.rice.s :
Don Chaffey
Scénariste.s :
Vincent Tilsley
Guest.s :
Finlay Currie
,
Leo McKern
,
Nadia Gray
,
Richard Wattis
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 25 juillet 2017 à 14:50 |
Spoiler
Ouah ça c'est du retournement de situation. Même après 50 ans (!), le truc a tout à fait marché sur moi et jusqu'à 2 minutes avant la révélation j'étais convaincu qu'il était sorti. C'est d'autant plus surprenant que pour les oeuvres qui ont déjà un peu d'âge, ce type de procédé est facilement prévisible car il est généralement réutilisé dans des films ou séries plus récentes. Le spectateur y est donc habitué. Quelque chose retient mon attention. Évidemment la caisse dans laquelle ils étaient embarqués n'a pas réellement pris le bateau ou l'avion, mais on voit quand même toutes ces scènes à l'écran. Cela veut-il dire que certaines choses qui sont montrées se passent en fait dans la tête de numéro 6 ? J'espère car ça donnerait un tout autre niveau de lecture ! |
Avis favorable | Déposé le 02 novembre 2014 à 11:35 |
Il faut fi des nombreuses incohérences et de la lourdeur d'un n°2 tout en grimaces et en sautillements et apprécier cet épisode renversant qui se déguste tel un bon rosé sur un terrasse ensoleillé, un jour d'été, à la campagne. |
Avis favorable | Déposé le 13 août 2013 à 23:24 |
Les vingt dernières minutes de cet épisode resteront à jamais gravées dans ma mémoire de fan de séries. Tout n'est qu'illusion, œuvre de fiction, comme sentiments et comme ce village à la fois chaleureux et complètement froid. A ce titre, la dernière réplique de l'épisode (un "Bonjour chez vous !" totalement fataliste), sonne le glas du destin de Numéro 6. Il ne sortira jamais de cette construction fictionnelle. |
Avis favorable | Déposé le 22 décembre 2011 à 15:26 |
L'humour à l'anglaise, j'adore! on a juste envie de lancer la suite pour en savoir plus! comment va t'il s'échapper!?? |
Avis favorable | Déposé le 10 janvier 2010 à 13:57 |
Un épisode bien meilleur pour plusieurs raisons, un héro devenu étrangement cool et pleins de blagues, et même si la transformation se fait de manière trop abrupt, c’est vraiment appréciable. Numéro 6 , que nous appellerons désormais Patrick, pour sa cool attitude va engager un vrai jeu de « chat et la souris » avec numéro 2 et le village dans cette épisode, le duel est très bon, et même si j’ai pesté pendant l’épisode contre les incohérence du scenario (comment numéro 8 a elle put prévenir quelqu’un de l’extérieur ? ) tout s explique a la fin , et quand bien même si le héro se fait baiser de manière naïve (comme le spectateur au passage) La série commence a trouver ses marques, d’ailleurs même la real est de meilleur qualité. Mais pour emmerder le monde je tiens dire qu’il faudrait quand même que certain acteurs se remettent en question, que les doubleurs se pendent, et que la série prenne du volume et soit encore plus ambitieuse. Allez c est bien mieux, suivant. PS ; je trouve quand même « Smoke » de Lost trouve de nombreuse similitude avec le Rodeur. |
Un excellent épisode sans temps mort avec un brillant twist final. Mais ce que je préfère encore aux rebondissements scénaristiques, c'est ce ton, tout en second degré et en ironie permanente.