The Sopranos
Les Soprano
Tony Soprano, gangster habitant dans le New Jersey, souffre de crises de panique et doit voir en secret une analyste, la docteure Jennifer Melfi. La série suit ses problèmes de famille - conflit avec sa femme Carmela, ses deux enfants Meadow et Anthony Junior, sa mère Livia et son oncle « Junior » - et sa ...
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Terminée | Américaine | 53 minutes |
Drame, Crime, Drama | HBO, Jimmy | 1999 |
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5.03 - Cherche Johnny désespérément
Where's Johnny?
Comme Carmine Lupertazzi est mort sans nommer de successeur, Johnny Sack est bien déterminé à prendre le contrôle du secteur new-yorkais. Et lorsque Lorraine Calluzzo manque de lui payer sa part des gains, il lui envoie un avertissement vigoureux. Lorraine appelle Tony à la rescousse et ce dernier tente de négocier avec Johnny. Parallèlement, Feech la Manna, en conditionnelle, se querelle avec Paulie pour une affaire de territoire et de paysagistes. Chez lui, Tony ne supporte plus les remarques critiques d'Oncle Junior. Et lorsque le vieil homme, déboussolé, part dans la rue à la recherche de son frère décédé, Tony refuse d'aider sa soeur à le retrouver...
Diffusion originale : 21 mars 2004
Diffusion française :
21 mars 2004
Réalisat.eur.rice.s :
John Patterson
Scénariste.s :
Michael Caleo
Guest.s :
Allen Enlow
,
Anna Marie Gottfried
,
Bill Rowe
,
Dean Edwards
,
Ed Setrakian
,
George Odom
,
Hilda Evans
,
Louis Mustillo
,
Michael Cavalieri
,
Michael Isaiah Johnson
,
Patti D'Arbanville
,
Richard Portnow
,
Robert Loggia
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 10 mai 2015 à 13:08 |
D'accord avec Nicknackpadiwak, Paulie est vraiment un personnage savoureux, ici sa petite gueguerre de voisinage avec les paysagiste est très drôle. Sinon l'épisode nous dépeint un Tony toujours aussi hypocrite: Il demande à Artie de venir vivre avec lui car ça lui fait de la peine de le voir seul, alors qu'en réalité c'est lui qui se sent seul et a besoin de quelqu'un pour lui faire la popote. |
Avis favorable | Déposé le 03 octobre 2013 à 13:58 |
Paulie développe vraiment un énorme potentiel comique et chacune de ses apparitions est source de plaisir, à part ça, la dernière scène est superbe d'émotion retenue |
Depuis l'épisode précédent, je crois que je ne vais plus voir que la connardise de Tony Soprano. Du don de poisson à Junior mais seulement parce qu'il a besoin de nettoyer son frigo, à la demande de sa part dans la transaction entre Paulie et son jardinier qu'il a lui-même arrangée (laissant donc le pauvre jardinier avec pas grand chose au final puisqu'il devra tondre la pelouse de Tony, en prime), en passant par son histoire avec Artie dont shalashaska a parlé dans son avis, ce sont de petites connardises mais cela participe vraiment à sa descente aux enfers que la série nous dépeint. Très intéressant, comme toujours.
Pour ce qui est de l'épisode en lui-même, la première moitié n'est pas des plus intéressante car elle se concentre sur ce que j'aime le moins dans celle-ci : son aspect "politique". Je ne comprends qu'à moitié ces histoires de Carmine (dont on nous a annoncé la mort du père comme ça, en passant, dans l'épisode précédent, et dont on nous parle du fils sans qu'on le voit à peine, je me demande même si on l'a déjà vu, en fait), de Johnny Sack (qu'on ne voit aussi qu'une fois de temps en temps), etc. Ça n'aide donc pas vraiment à l'appréciation de leurs histoires. Dommage...
La deuxième partie l'est plus, grâce à Paulie, toujours aussi drôle, et à Junior Soprano qui chope la maladie qui me fait le plus flipper dans ma vie : Alzheimer. Je sens que si son état empire et que la série se concentre un peu dessus par la suite, comme dans cet épisode, certaines scènes risqueront de me mettre en PLS... L'épisode finit donc en effet sur un dialogue... oui... tout en "émotion retenue"... oui, c'est le mot... Si j'appréciais vraiment Tony Soprano, c'est pas dit que cette scène aurait justement fait partie de ces fameuses scènes PLS...
Mais c'est là où je me dis que la plupart des personnages étant des connards finis, c'est pas dit que cela arrive un jour en fait... D'ailleurs, j'ai une mémoire de merde donc je dis peut-être des conneries, mais je me rends compte que dans la série, il n'y a pas une seule scène (ou vraiment très peu) qui m'ait vraiment ému plus que cela. Triste, oui (je me souviens de Tony et de son cheval), mais au point de me faire chialer, par contre...