Image illustrative de Westworld
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Westworld

À Westworld, un parc d'attractions dernier cri, les visiteurs paient des fortunes pour revivre le frisson de la conquête de l'Ouest. Dolores, Teddy et bien d'autres sont des androïdes à apparence humaine créés pour donner l'illusion et offrir du dépaysement aux clients. Pour ces derniers, Westworld est ...

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Terminée Américaine, US 60 minutes
Science-Fiction, Western, Thriller, Drame HBO, OCS City 2016
13.13

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Image illustrative de l'épisode 3.03 - L'absence de champ

The Absence of Field

Caleb vole au secours d'une belle et jeune inconnue grièvement blessée. Parviendra-t-il à l'arracher des griffes de ses poursuivants ? Charlotte, de son côté, apprend qu'un acquéreur anonyme cherche à prendre le contrôle de Delos d'une façon très agressive...

Diffusion originale : 29 mars 2020

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Diffusion française : 29 mars 2020
Réalisat.eur.rice.s : Amanda Marsalis
Scénariste.s : Denise The
Guest.s : Derek Smith , Jaxon Thomas Williams , Katy M. O'Brian , Kid Cudi , Lawrence Adimora , Michael Ealy , Nadine Lewington , Payman Maadi , Pom Klementieff , Russell Wong , Sol Landerman , Tommy Flanagan , Isaac Gonzalez Rossi , Kristy Munden , Dexter Hobert , Jessica Lindsey , Remington Hoffman , Nikol Kollars , Lorna Duyn , Katy O'Brian

Tous les avis

Avatar ClaraOswald ClaraOswald
Membre
Avis favorable Déposé le 06 avril 2020 à 06:31

Le meilleur épisode so far !
Caleb est tellement attachant et son personnage si triste. J'adore l'idée que l'"IA" prédit l'avenir des gens et investi dans les personnes avec le plus de potentiel. C'est tellement triste et déprimant comme concept.

Hale brille dans cet épisode. Cette actrice est incroyable, c'était intéressant de développer le background de l'humaine (la rendant toute de suite plus... humaine) et comment sa version robot allait gérer sa vie de famille. 
A noter que quand Hale et Dolores se parlent on entend la musique "Myself" de la saison 2 (qui était le nouveau thème de Dolores). Est ce que ça voudrait dire que Hale n'est qu'une copie de Dolores ?
Beaucoup parlent de Teddy mais ça n'aurait pour moi aucun sens vu que son arc est conclu en saison 2 et qu'il est envoyé au "paradis".
Hâte de voir la suite!

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Avatar bedsouin bedsouin
Membre
Avis neutre Déposé le 03 avril 2020 à 17:25

Le troisième d'affilée sans être vraiment convaincu. Comme dirait l'autre, ça sent le roussi! La série continue à m'ennuyer, et là on se retrouve sur un schéma avec "et à la fin, Enguerrand entre en scène". Je suis cette année très incommodé par l'omniprésence de musique très lourde. Je n'avais pas remarqué ça dans les autres saisons, ça veut dire que c'était bien intégré. Mais là, c'est juste insupportable.

Après, les thèmes... La création, la transmission, la filiation... On tourne un peu en rond là, non? Tout ce qui pouvait avant être amené de manière assez ludique et intéressante paraît ici d'une lourdeur incroyable. C'est dommage car sur le plan visuel et formel il y a quelques passages vraiment très réussis. Mais on est quand même en droit d'attendre un peu plus de cette série qui, à son lancement, était censée prendre le relais de GoT au niveau populaire. Trois ans après, on est quand même très loin du compte. Espérons que la série ne finisse pas par aller s'enfermer vers quelque chose de trop pointu pour attirer encore les foules; ce qui ne serait pas forcément une mauvaise chose, à condition que ça reste suffisamment intéressant.

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Avatar Manoune398 Manoune398
Rédacteur
Avis favorable Déposé le 31 mars 2020 à 16:47

J'ai eu plus de mal avec cet épisode, notamment à cause du fait que les thématiques sont trop redondantes. L'intérêt de Charlotte était son lien avec Delos, en tout cas pour moi, et là son intrigue personnelle ne m'intéresse pas du tout. À part de savoir qui elle est réellement, ses scènes m'ont laissée assez insensible.

J'aime beaucoup plus Dolores et Caleb, qui est vraiment touchant, et leur rencontre qui change la donne et humanise Dolores. Je trouve d'ailleurs Evan Rachel Wood plus à l'aise dans ce monde-là, elle qui m'avait exaspérée les saisons précédentes.

Enfin, tout comme Galax, j'ai trouvé la musique trop forte et parfois inutile, rendant certains moments très longs. Ce n'est pas dingue, surtout après ces deux premiers épisodes au haut potentiel, mais il reste encore du temps pour nous impressionner.


Avatar nicknackpadiwak nicknackpadiwak
Rédacteur
Avis neutre Déposé le 31 mars 2020 à 09:54

Je n’ai rien contre Charlotte, en soi, mais cela fait le 3ème protagoniste qui soit une femme forte, indépendante et …. méga-froide et qui, après Maeve, est coincée dans une histoire de parentalité. Attention à la lassitude. Surtout que pour l’instant en face, on a certes un Bernard, absent ici, mais plus réveillé que par le passé, mais aussi Aaron Paul qui rejoue Jesse Pinkerman et Vincent Cassel qui fait du Vincent Cassel. C’est un peu faible et pas suffisant pour contre-balancer.

Sinon, l’épisode n’est pas exceptionnel, je m’y suis un peu ennuyé. Surtout j’ai eu parfois l’impression de regarder Lucy de Besson avec sa Terminator indestructible qui tue des méchants qui se font passer pour des flics et qui n’hésitent pas à tuer des ambulanciers de dos.

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Avatar Galax Galax
Administrateur
Avis favorable Déposé le 30 mars 2020 à 19:35

Plus que le thème de la maternité/parentalité dans l'épisode, je retiens surtout cette brillante idée de faire de Roboham un algorithme de prédestination au futur des gens. Je trouve la trajectoire du personnage de Caleb très belle et touchante, et très finement reliée à celle de Dolores, dont le plan au départ de "tuer tous les humains, bouh !" se complexifie et semble devenir beaucoup plus intéressant.

Charlotte Hale ne nous apprend pas toutes les réponses qu'on aimerait savoir, mais soulève des questions d'identité fidèles à ce à quoi la série nous a habitué. Son intrigue est largement portée par une Tessa Thompson tout juste formidable, des expressions au body language, cette femme sait vraisemblablement tout jouer et notamment la perte totale de repère.

La fin avec Vincent Cassel continue de m'intriguer et la série n'hésite pas comme je le souhaitais à jouer avec ses quelques mystères principaux (qui est Charlotte - quel est le plan de Dolores - où sont les copies de la Forge) plutôt que de se noyer dans des intrigues comme elle a pu le faire.

C'est toujours aussi bon pour moi donc et les théories s'enflamment toujours, mais de façon raisonnable.

Bémol sur la musique, les longs violons larmoyants qui reprennent en boucle le thème du générique, j'en ai ma claque, d'autant que si Westworld a su complètement se réinventer lors du passage à la réalité (réalité, peut-être ?!), avec un aspect thriller d'anticipation politique Black Mirror-resque vraiment bon, la bande-son semble encore coincé dans le parc et manque sérieusement de punch, rendant plus longues que nécessaires certaines séquences. Peut-être qu'une musique encore bloquée en saison 1 nous indique que tout ce qu'on voit est encore une simulation... (non.)

Ne manquez pas notre podcast où on parle d'étranglement, de thé et le café, de The Dark Night, La La Land, Matrix, The Expanse, mais aussi et surtout : des symboles sur la couette de Nathan Hale. Oh oui, tout a un sens.

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Avatar Koss Koss
Rédacteur
Avis favorable Déposé le 30 mars 2020 à 15:47

Quand Dolores a dit "Je vais devoir retrouver un vieil ami", j'ai hurlé de joie. Malheureusement, cela ne sera que dans l'épisode suivant.  :(

Nolan et Joy (et leurs scénaristes) sont vraiment travaillés par la parentalité. C'est dingue comme ça ressort de tous leurs scénarii. C'est toujours la question du père ou de la mère. C'est d'ailleurs le cas chez Christopher Nolan également. Ici, c'est Caleb qui n'est pas reconnu par sa mère. C'est Nathan qui ne reconnait pas sa mère et Charlotte Hale qui va trouver une forme d'affection parentale ("I only have you") auprès de Dolores, qui lui dit pourtant qu'ils n'ont pas de parents. Si c'est bien Peter Abernaty dans le corps de Charlotte, cela prend une toute autre tournure.

L'épisode reste globalement poussif sur cette thématique, où tous semble fonctionner en miroir, plus que jamais. Il y a notamment ce passage où Charlotte semble se reconnecter avec elle-même en retrouvant son "instinct maternelle", avec la scène dans le parc. Scène que j'ai trouvé particulièrement débile, à la fois scénaristiquement et thématiquement, voir même à la limite du sexisme.

Bref, c'était bien long, voir assez lourdingue pour la série.

+ de détails dans le podcast !


13.22

9 notes

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Avatar de Antofisherb
Antofisherb a noté cet épisode - 11
06 avril 2020
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ClaraOswald a noté cet épisode - 19
06 avril 2020
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Jo_ a noté cet épisode - 13
03 avril 2020
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bedsouin a noté cet épisode - 10
03 avril 2020
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Manoune398 a noté cet épisode - 13
31 mars 2020
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nicknackpadiwak a noté cet épisode - 12
31 mars 2020
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Stean a noté cet épisode - 13
31 mars 2020
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Galax a noté cet épisode - 15
30 mars 2020
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Koss a noté cet épisode - 13
30 mars 2020

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