Buffy the Vampire Slayer
Buffy contre les vampires
A chaque génération il y a une élue. Seule elle devra affronter les vampires, les démons et les forces de l'ombre. Concilier scolarité difficile et affrontements nocturnes, ce n'est pas facile. Et c'est pourtant le quotidien de Buffy, une adolescente comme les autres avec ses problèmes affectifs et scolaires, ...
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Terminée | Américaine | 45 minutes |
Action, Fantastique, Adventure, Comedy, Drama, Fantasy, Horror | The WB, Série Club, UPN | 1997 |
14 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 4.12
Avis favorable | Déposé le 11 décembre 2018 à 23:04 |
Giles and Spike forment un très bon duo (le coup des $100 mdr) et c’est sympa de voir Giles un peu différemment. Cependant, bien que j’aime bien la relation Buffy/Riley, je n’accroche toujours pas à cette histoire d’organisation militaire. |
Avis favorable | Déposé le 21 décembre 2014 à 13:46 |
Sacré Ethan Rayne, toujours là pour manigancer un sale coup. Giles en démon et son duo avec Spike, c'est une bonne idée. Bien fait pour Mme Walsh haha. |
Encore un épisode vraiment bon, où Giles est enfin mis sur le devant de la scène. Je ne me souvenais pas vraiment du magouilleur qui transforme Giles en démon qu’on avait apparemment déjà vu, mais ils parviennent à reprendre ce personnage pour un pitch d’épisode plutôt original. Plein de bonnes idées : que Giles semble débarquer et apprendre enfin tous les trucs qui sont importants de la saison (Riley, l’initiative, la prof Walsh…), que personne ne puisse entendre Giles, sauf Spike, qui se chamaillent ensuite.
Tout est très bien lié avec le fil rouge de l’Initiative donc qui est vraiment très bien géré, avec notamment la prof Walsh qui va obviously être plus maléfique qu’elle en a l’air, mais qui semble tout de même afficher une certaine retenue.
L’épisode est en plus vraiment plutôt drôle et aborde la pseudo-relation père/fille entre Giles et Buffy avec pertinence.
C’est vraiment comme si la saison se réveille en mode “eh mais on a Giles et Anthony Head et on ne fait rien avec !”. Très bien !