Buffy the Vampire Slayer
Buffy contre les vampires
A chaque génération il y a une élue. Seule elle devra affronter les vampires, les démons et les forces de l'ombre. Concilier scolarité difficile et affrontements nocturnes, ce n'est pas facile. Et c'est pourtant le quotidien de Buffy, une adolescente comme les autres avec ses problèmes affectifs et scolaires, ...
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Terminée | Américaine | 45 minutes |
Action, Fantastique, Adventure, Comedy, Drama, Fantasy, Horror | The WB, Série Club, UPN | 1997 |
14 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 4.17
Avis favorable | Déposé le 17 décembre 2018 à 22:41 |
L’idée n’est pas forcément mauvaise mais alors que la saison était pleinement lancée sur l’intrigue principale, on nous sort un épisode de nulle part. Divertissant, certes, mais pas folichon. |
Avis neutre | Déposé le 22 décembre 2014 à 00:15 |
Un épisode assez original avec Jonathan en premier plan mais je n'ai pas réellement accroché à l'intrigue. |
L’idée de cet épisode what-if qui nous plonge directement dans l’univers parallèle est géniale, et dès l’incrustation de Jonathan au générique, j’étais plié !
L’épisode joue avec tous les codes de la série en replaçant Jonathan au centre de tout, et franchement j’étais à deux doigts de me dire que tout était crédible pendant pas mal de temps. Le mystère tient vraiment bien et même si le “comment” final est un peu bâclé (un pacte un peu incompréhensible en hors-champ avec un démon), c’est encore un épisode standalone créatif proposé par la saison, avec beaucoup d’humour, de déconstruction des ficelles de la série et tout de même des personnages qui évoluent au passage.
Certes, le fil rouge n’avance pas à fond, mais dire que cet épisode est complètement skippable serait aussi faux à mon sens, grâce au rapprochement entre Jonathan qui s’est isolé dans son monde parfait et Buffy qui s’isole aussi dans un faux-bonheur avec Riley sans aborder les vrais problèmes.
J’aime bien aussi comment Buffy est celle qui petit à petit amène l’idée pour sortir de ce monde twisté, ou encore comment Anya est mise à contribution (elle qui créé aussi des mondes idéaux pour ses victimes) et est ainsi, le temps de cet épisode, plus qu’une machine au même gag en boucle. Et dans l’ensemble j’aime beaucoup le virage très “fantasy conceptuelle” qu’a pris la série cette saison (ce qui ne l’empêche pas d’avoir des gros monstres en latex à puncher pour Buffy, comme ici, mais ça ajoute quand même plus d’intelligence dans le scénario).
Par contre, il est vrai qu’Adam est totalement anecdotique chaque semaine, il pourrait aussi bien ne pas être là que ça serait pareil et n’est vraiment pas très présent. Conséquence de quoi, il ne me dérange pas non plus tant que ça.